Un excellent début en orge
« Les ventes françaises d’orge sur pays tiers sont très en avance par rapport à l’an dernier », se réjouit Jean-Pierre Langlois-Berthelot, président de FEC. « Tant que la récolte de maïs n’était pas disponible, la demande en céréales fourragères s’est avérée vive. Les volumes d’orges ukrainiens ont beaucoup baissé en faveur du maïs. Le pays est quasi absent de ce marché. La France a su tirer profit de cette situation, mais le mouvement devrait se modérer. »