Pour une contractualisation du végétal à l’animal par filière
Les dirigeants d’Orama ont évoqué à l’issue de leur assemblée plénière leur main tendue à destination des secteurs de l’élevage, via les aliments du bétail, à travers un projet de contractualisation du végétal à l’animal. Ce projet, annoncé début septembre par l’AGPB, puis précisé par l’AGPM, « doit se faire en cascade, par filière et de façon diversifiée », selon Christophe Terrain, président de l’AGPM. « On partira d’une feuille simple pour certaines filières d’élevage, comme celle des volailles labels ou des palmipèdes gras. » Mais pour d’autres comme l’élevage porcin, la contractualisation sera plus complexe à mettre en œuvre, les éleveurs contractant non pas pour 100 % de leurs besoins en aliments, mais plutôt pour 25 %, a indiqué le président de l’AGPM.