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Protéagineux
Fermeté en féverole

En pois, les cours n’évoluent quasiment pas, faute d’activité. En féverole, on note un raffermissement en portuaire.

Issues de meunerie

Forte baisse des prix des sons

Les cours des sons fins et pellets se déprécient nettement cette semaine. La demande française, belge et espagnole est atone, alors que l’activité de la meunerie hexagonale est soutenue. Les cotations du remoulage demi-blanc et de la farine basse sont sans changement sur la période. Sur les sons, en régions, les opérateurs ont pu constater un renchérissement des cours en Bretagne où l’offre trouve facilement preneur. Sur le Nord, les prix s’effritent légèrement. En Rhône-Alpes, un acheteur italien a contracté du son fin de blé tendre à 90 €/t. En Occitanie, « jusqu’ici, les prix étaient très bas, et le marché inexistant, mais cela commence à frémir », indique un courtier.

Déshydratés

Cotations sages malgré des ventes

En luzernes déshydratées, les cours sont sans changement. Les opérateurs du Grand-Est enregistrent quelques transactions, sur un marché plutôt calme. Les cours de la pulpe de betterave déshydratée sont également reconduits. Les affaires sont assez régulières en termes de volume.

Coproduits

Retrait des drêche et corn gluten feed

Les cotations des poudres de lait et de lactosérum sont reconduites, sur fond de marché atone. Les cotations du corn gluten feed reculent de 1 €/t compte tenu de la baisse des cours des tourteaux. Néanmoins, de petites affaires sont signalées. Les prix des drêches de maïs régressent eux aussi légèrement, pour les mêmes raisons. Mises à part quelques transactions conclues sur le rapproché en Bretagne, le marché est globalement très calme. En paille, les cours n’enregistrent pas de modification cette semaine. Nos correspondants signalent quelques affaires réalisées dans le quart Nord-Est.

Produits divers

Peu d’activité, prix à plat

En légumes secs, les prix se stabilisent, sur un marché inactif. Rien à signaler en graineterie. En farines de poissons, les prix sont inchangés, le quota de pêche péruvien n’étant pas annoncé.

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