Gel hivernal
Assez de semences pour des ressemis de blé dur et plus d’orges de printemps
« Les disponibilités en semences, que se soit en orge de printemps ou pour d’éventuels ressemis en blé dur, permettront a priori d’approvisionner le marché », assure le Gnis dans un communiqué. Ce que confirme l’UFS (Union française des semenciers) indiquant que les semenciers « ont, par anticipation, réalisé une évaluation de leurs stocks disponibles pour ce printemps » confirmant que les besoins pour d’éventuels ressemis « seraient couverts. » Les professionnels du secteur « intègrent chaque année dans leur plan de production des surfaces de multiplication de sécurité, et diversifient leurs implantations et les choix variétaux. Ces dispositions limitent les risques de défaut d’approvisionnement en semences certifiées », précise l’UFS. Si les conséquences du gel restent incertaines, le Gnis souligne que les ressemis de blé dur seront « sans doute limités à des cas extrêmes ».