Oui ou non au RIP – Discussion entre agriculteurs et parlementaires dans une exploitation du Calvados
RIP ou pas RIP, c’est la question à laquelle ont dû répondre les parlementaires ces dernières semaines. Le Référendum d’initiative partagée pour les animaux a été ressenti comme une nouvelle atteinte à leur profession par le monde agricole. Dans le Calvados, les JA ont décidé de ne pas être dans l’affrontement mais dans le dialogue. Samuel Biderre a ouvert les portes de son élevage laitier à une sénatrice et à la collaboratrice d’une députée. Discussions et explications. L’Agriculteur normand relate la rencontre.
RIP ou pas RIP, c’est la question à laquelle ont dû répondre les parlementaires ces dernières semaines. Le Référendum d’initiative partagée pour les animaux a été ressenti comme une nouvelle atteinte à leur profession par le monde agricole. Dans le Calvados, les JA ont décidé de ne pas être dans l’affrontement mais dans le dialogue. Samuel Biderre a ouvert les portes de son élevage laitier à une sénatrice et à la collaboratrice d’une députée. Discussions et explications. L’Agriculteur normand relate la rencontre.
Dans le Calvados comme dans les autres départements, le projet de Référendum d’initiative partagée, le RIP sur les animaux ne passe pas chez les éleveurs. Pourtant, certains ont décidé d’être ouverts au dialogue. Le mercredi 16 septembre, les jeunes agriculteurs du syndicat départemental JA 14 ont invité les parlementaires de leur département à découvrir la ferme de Samuel Biderre, éleveur de vaches laitières et de veaux de lait. « Corinne Féret, sénatrice, et Emmanuelle Jardin-Payet, collaboratrice de Laurence Dumont, députée, sont les deux seules à avoir accepté l’exercice », annonce l’Agriculteur normand qui relate la rencontre. Corinne Féret a signé la pétition en faveur du RIP, Laurence Dumont, elle, ne l’a pas signé.
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