Une chèvre dans une réunion Zoom – L’idée insolite et lucrative d’une éleveuse anglaise
Dot McCarthy, éleveuse de chèvres au nord de l’Angleterre a lancé comme une plaisanterie sur les réseaux sociaux l’idée de louer ses animaux pour les réunions Zoom. La blague a remporté un succès fou et généré des demandes du monde entier… mais aussi des revenus pour la jeune agricultrice.
Dot McCarthy, éleveuse de chèvres au nord de l’Angleterre a lancé comme une plaisanterie sur les réseaux sociaux l’idée de louer ses animaux pour les réunions Zoom. La blague a remporté un succès fou et généré des demandes du monde entier… mais aussi des revenus pour la jeune agricultrice.
De vrais chèvres qui s’invitent aux réunions Zoom ? Cette idée est celle de Dot McCarthy, éleveuse dans le comté du Lancashire, au nord de l’Angleterre. L’histoire est racontée dans Ouest-France, sur RTL et d’autres médias.
Car cette réalité animale pour de virtuelles rencontres a séduit. La ferme de Rossendale « croule sous les demandes », assure le quotidien breton. A tel point qu’il a déjà rapporté 50 000 livres (près de 57 000 €) à la propriétaire des caprins. Le prix de la location d’une chèvre pour une apparition en visioconférence est de 5 livres (un peu moins de 6 €), précise encore le journal.
Faire la chèvre en réunion : une prestation facturée 5 livres
La jeune éleveuse a reçu des demandes de très nombreux pays du monde pour faire voyager ses chèvres via Internet. Une demande planétaire allant de la Chine aux Etats-Unis en passant par l’Australie ou encore la Russie… De quoi compenser le manque à gagner des visites scolaires et de la location de salles pour mariage qu’elle pratiquait également avant que l’on ne commence à parler de Covid et de confinement.
Au départ, la jeune femme de 32 ans pensait juste être l’auteur d’une bonne blague. Son intention était de « faire rire les gens » selon ses propos rapportés sur RTL. Mais en une nuit, prés de 200 personnes voulaient déjà s’offrir la présence d’une chèvre pour agrémenter leurs discussions. Et la plaisanterie est devenue plus que sérieuse. La petite entreprise ne connaît pas la crise sanitaire.