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Une mécanisation encore « peu présente »

Les filières fruits et légumes sont en demande de mécanisation, pour pallier le défaut de main-d'oeuvre et réduire la pénibilité. Pour l'heure, les outils sont encore « peu présents », selon un récent rapport du CGAAER.

Les filières fruits et légumes sont en demande de mécanisation, pour pallier le défaut de main-d'oeuvre et réduire la pénibilité. Pour l'heure, les outils sont encore « peu présents », selon un récent rapport du CGAAER.
Les filières fruits et légumes sont en demande de mécanisation, pour pallier le défaut de main-d'oeuvre et réduire la pénibilité. Pour l'heure, les outils sont encore « peu présents », selon un récent rapport du CGAAER.
© Stéphane Leitenberger/Illustration

Et si les machines prenaient le relais. Face à la pénurie de main-d'oeuvre, pour certains travaux (désherbage en maraîchage, récolte en arboriculture, en particulier), la mécanisation pourrait s'envisager. Les producteurs sont demandeurs. Selon le récent rapport SolRob, édité en 2020 par RobAgri (robotique agricole française), 90 % des arboriculteurs et 60 % des maraîchers sont en attente d'une solution pour la récolte - 75 % pour des solutions de désherbage. « Le recours à de nouveaux outils mécanisés et de robots se développe en cultures spécialisées », constataient les inspecteurs du CGAAER (ministère de l'Agriculture) dans un récent rapport. « Il permet notamment de réduire la pénibilité (allègement du port de charge et suppression des échelles fruitières, ce qui facilite aussi l'emploi féminin), de limiter les risques, de mieux adapter et contrôler l'utilisation des produits phytosanitaires, de faire face au manque de main-d'oeuvre, particulièrement saisonnière ».

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