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Nouvelle levée de boucliers

Alors que la Commission européenne et la présidence portugaise du Conseil voudraient accélérer la procédure de ratification de l’accord commercial UE-Mercosur, des eurodéputés et les organisations agricoles de l’UE rappellent le manque de garanties du texte sur les normes phytosanitaires et le climat.

Alors que la Commission européenne et la présidence portugaise du Conseil voudraient accélérer la procédure de ratification de l’accord commercial UE-Mercosur, des eurodéputés et les organisations agricoles de l’UE rappellent le manque de garanties du texte sur les normes phytosanitaires et le climat.
Alors que la Commission européenne et la présidence portugaise du Conseil voudraient accélérer la procédure de ratification de l’accord commercial UE-Mercosur, des eurodéputés et les organisations agricoles de l’UE rappellent le manque de garanties du texte sur les normes phytosanitaires et le climat.
© Copa-Cogeca

Après les organisations et coopératives agricoles de l’UE qui ont lancé le 11 février une campagne de communication pour rappeler leur opposition à la ratification de l’accord de libre-échange signé entre l’UE et les pays du Mercosur, ce sont une soixantaine d’eurodéputés Verts – mais aussi quelques-uns d’autres groupes politiques, notamment le Français Pascal Canfin (centriste) président de la commission parlementaire de l’Environnement – qui expriment leurs inquiétudes. Dans une lettre adressée le 11 février au Premier ministre portugais António Costa, dont le pays préside le Conseil de l’UE jusqu’au mois de juin, ils demandent la renégociation de l’accord de libre-échange avec les pays du Mercosur. La Commission et le Conseil avaient indiqué, il y a quelques semaines, être en discussion avec le Mercosur autour de déclarations additionnelles sur le respect d’objectifs climatiques et sur la lutte contre la déforestation. « Des engagements additionnels qui ne sont pas applicables et sanctionnables et qui n’ont pas de lien juridique clair avec le texte de l’accord ne sont pas suffisants pour s’attaquer aux carences de l’accord », jugent les signataires qui appellent le Conseil à suspendre les négociations pour le moment, plutôt que de « s’empresser à signer un accord nocif ».

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