Aller au contenu principal

Noël avant l'heure !

L'association du Marché aux bestiaux de Laissac et ses partenaires préparent la 13e édition du concours-vente Boeufs de Noël, samedi 2 décembre. Présentation avec Bernard Fabre, co-président avec Anne Mercadier.

L'association du Marché aux bestiaux de Laissac et ses partenaires préparent la 13e édition du concours-vente Boeufs de Noël, samedi 2 décembre. Présentation avec Bernard Fabre, co-président avec Anne Mercadier.
L'association du Marché aux bestiaux de Laissac et ses partenaires préparent la 13e édition du concours-vente Boeufs de Noël, samedi 2 décembre. Présentation avec Bernard Fabre, co-président avec Anne Mercadier.
© Eva DZ

Comment se présente cette 13e édition des Boeufs de Noël ?
Nous attendons près de 300 animaux de races à viande Aubrac, Charolais, Limousin, Blonde d'Aquitaine et croisés, issus des élevages de l'Aveyron mais aussi des départements alentour (Tarn, Cantal, Lozère, Tarn et Garonne, Lot, Haute-Garonne...). Ce qui montre que notre manifestation est bien suivie par les éleveurs, malgré le contexte peu porteur. Nous comptons sur la perspective des fêtes de fin d'année pour animer les ventes. En tout cas, nos acheteurs ont assuré qu'ils seraient au rendez-vous !

Quelles sont les clés de la réussite de ce type d'événement ?
Je pense que la longévité de notre concours-vente est l'une des preuves de sa réussite. Depuis 13 ans, cet événement s'est inscrit dans le calendrier des éleveurs et des acheteurs. C'est une promotion pour l'élevage régional, il met en avant la viande de qualité, à travers une origine garantie et un savoir-faire reconnu des éleveurs. Une belle façon aussi de contrecarrer tous les discours anti-élevage et anti-viande dont notre filière est victime. Notre concours, comme d'autres, montre que l'on travaille bien chez nous.

Quels sont les retours des acheteurs ?
Les Boeufs de Noël sont un rendez-vous inscrit dans leur agenda ! Nous avons des acheteurs très fidèles depuis les premières éditions, qui jouent bien le jeu de la vente aux enchères puis de la vente générale ensuite. Mais nous accueillons aussi chaque année quelques nouveaux, qui viennent sur place se rendre compte des échos positifs qu'ils ont eus de notre événement. Cette fidélité des acheteurs, nous la retrouvons aussi du côté des éleveurs, qui chaque année, se mobilisent et investissent pour présenter des animaux de qualité.


Comment se déroulera cette 13e édition ?
Nous renouvelons la formule habituelle. C'est-à-dire que les animaux arriveront tôt le matin sur le foirail de Laissac. Puis la matinée sera consacrée aux opérations du jury. La vente aux enchères, qui sera cette année animée par Bernard Guibbaud, débutera aux alentours de 14 h. Nous avons prévu de proposer aux enchères les champions de chaque race, puis une grande championne et sa dauphine. Donc au total six animaux.
Suivront la vente générale des animaux exposés et enfin la remise des prix à 17 h 30.

Quels sont vos espoirs pour cette 13e édition ?
Nous espérons que tout se passe bien ! Nous sommes tous mobilisés pour proposer une belle journée autour de la promotion de la viande.
Avez-vous programmé quelques animations autour de cet événement ?
Oui tout à fait. Dès le vendredi après-midi, veille du concours, nous accueillerons au centre administratif, les élèves de Laissac pour leur proposer une dégustation de viande. Ils pourront échanger avec des professionnels de la filière qui les sensibiliseront à la consommation de viande, avec quelques idées recettes à la clé à transmettre à leurs parents ! La viande ce n'est pas que du steak haché, mais ce peut-être aussi une bonne daube. C'est important pour nous de communiquer avec le jeune public. Les restaurateurs de Laissac proposeront pour le déjeuner, un repas boeuf.
Bref tous les ingrédients sont réunis pour faire de cette nouvelle édition, une belle réussite ».

Les plus lus

Les associés du Gaec de la Cartalade avec Emmanuel Grange de chez DeLaval devant les 3 robots fraichement installés.
3 robots de traite nouvelle génération pour gagner en souplesse de travail

À Mercoeur, les 5 associés du Gaec de la Cartalade ont fait le choix de traire un troupeau de 150 vaches montbéliardes à…

nombreuses personnes autour d'un robot de traite.
Robot et pâturage : mission possible !

Le robot de traite ne rime pas forcément avec stabulation intégrale. À Vic-sur-Cère, éleveurs et techniciens ont partagé…

vaches de races limousines dans un pré.
Aide au vêlage : 200 € par vêlage financés par la Région Auvergne-Rhône-Alpes

Destinée à encourager la recapitalisation du cheptel bovin viande dans la région, cette aide au vêlage ouvrira à partir de…

“Je veux pouvoir aller aux vaches en baskets !”

Chez les Noyer, à Saint-Martin-Cantalès, on ne lésine pas avec la propreté des vaches, de la stabulation et de la salle de…

vaches charolaises dans un pré.
Provision élevage : Comment les éleveurs peuvent bénéficier de cette mesure fiscale obtenue par le syndicalisme FNSEA-JA ?

La nouvelle provision élevage, déductible du résultat imposable, peut permettre aux éleveurs bovins d’économiser, dans les…

Dissolution de Gaec : quand les associés ne font plus société

Le nombre de dissolutions de Gaec pour cause de mésentente est en légère augmentation. S’ils font parler, ces cas restent…

Publicité
Titre
Je m'abonne
Body
A partir de 100€/an
Liste à puce
Accédez à tous les articles du site Réussir lait
Profitez de l’ensemble des cotations de la filière Réussir lait
Consultez les revues Réussir lait au format numérique, sur tous les supports
Ne manquez aucune information grâce aux newsletters de la filière laitière