Aller au contenu principal

Luc Sarrouy : « adapter les exigences environnementales sans les imposer »

Alors que l'assemblée générale annuelle du Copage s'est tenue ce 19 avril, Luc Sarrouy, responsable de l'association, rappelle le rôle fondamental de cette association lozérienne et dévoile les prochains objectifs stratégiques.

Alors que l'assemblée générale annuelle du Copage s'est tenue ce 19 avril, Luc Sarrouy, responsable de l'association, rappelle le rôle fondamental de cette association lozérienne et dévoile les prochains objectifs stratégiques.
Alors que l'assemblée générale annuelle du Copage s'est tenue ce 19 avril, Luc Sarrouy, responsable de l'association, rappelle le rôle fondamental de cette association lozérienne et dévoile les prochains objectifs stratégiques.
© ED

À quoi sert le Copage ?
Le « comité pour la mise en oeuvre du plan agri-environnemental et de gestion de l'espace en Lozère » est l'interlocuteur privilégié pour le monde agricole, à la fois sur l'environnement et la gestion des espaces naturels qu'il s'agisse de la ressource en eau, des zones humides ou des espaces classés Natura 2000. Nous travaillons avec la chambre, la Safer, les syndicats agricoles ainsi que les collectivités. L'objectif est bien d'adapter les exigences environnementales aux pratiques agricoles, sans imposer, mais en les articulant et accompagnant les agriculteurs. Avec succès puisque notre association est en train de prendre de l'ampleur. En cinq ans notre personnel a doublé, porté désormais à huit agents, dans un contexte où les effectifs globaux des chambres d'agriculture diminuent.

Alors que les impacts climatiques s'aggravent, les attentes de la société s'accroissent sur l'agriculture. Comment composez-vous avec ?
On ne part pas de rien en Lozère, et on ressent moins cette pression que dans d'autres départements. Mais il faut effectivement encore mieux maîtriser nos impacts. Notre force, en plus de notre équipe salariée, c'est d'avoir des élus qui s'impliquent à fond et n'hésitent pas à négocier et accompagner les projets. Au quotidien, nous nous retrouvons souvent à faire de la médiation avec des publics extérieurs au milieu agricole, notamment sur les dossiers Natura 2000. Cela fonctionne relativement bien et permet de maintenir le dialogue.

Les plus lus

nombreuses personnes autour d'un robot de traite.
Robot et pâturage : mission possible !

Le robot de traite ne rime pas forcément avec stabulation intégrale. À Vic-sur-Cère, éleveurs et techniciens ont partagé…

Des messieurs qui tiennent une affiche
Lafeuillade-en-Vézie : la fête du bœuf de Pâques s’enrichit du jeu du “juste poids”

Il y aura du nouveau pour cette 14e édition de la fête du bœuf de Pâques dimanche 30 mars à Lafeuillade-en-Vézie : les…

« Nous réclamons une injection unique pour protéger nos cheptels contre toutes les maladies vectorielles »

Alors que le risque sanitaire demeure élevé, Patrick Bénézit, président de la Fédération nationale bovine fait le point sur la…

trois éleveurs et leurs trois vaches respectivement de races brune, montbéliarde et prim'holstein.
Qui sont les Miss laitières 2025 du Cantal ?

L’épreuve départementale, organisée cette année à Saint-Mamet, récompense des éleveurs laitiers chevronnés, issus de tout le…

90 laitières attendues au Comice des JA à Brioude le 23 mars prochain

Dimanche 23 mars, au coeur de la ville de Brioude, les Jeunes Agriculteurs du canton vous invitent à une journée conviviale…

deux hommes entourent une femme en veste jaune
GVA Ruynes-St-Flour Nord, Thierry Amarger prend la présidence

Dans la continuité de son prédécesseur, Thierry Amarger, nouveau président du GVA de Ruynes-Saint-Flour-Nord,souhaite…

Publicité
Titre
Je m'abonne
Body
A partir de 100€/an
Liste à puce
Accédez à tous les articles du site Réussir lait
Profitez de l’ensemble des cotations de la filière Réussir lait
Consultez les revues Réussir lait au format numérique, sur tous les supports
Ne manquez aucune information grâce aux newsletters de la filière laitière