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Les miss laitières signent leur retour à Aumont-Aubrac

Brunes, Simmental, Prim'Holstein, et Montbéliardes investiront le samedi 9 avril la halle d'Aumont-Aubrac pour le concours des miss laitières. Portrait de Julien Pic, du Gaec de la Fage qui concourt cette année, pour la première fois avec deux vaches, les montbéliardes Pacifique et Précieuse.

Brunes, Simmental, Prim'Holstein, et Montbéliardes investiront le samedi 9 avril la halle d'Aumont-Aubrac pour le concours des miss laitières. Portrait de Julien Pic, du Gaec de la Fage qui concourt cette année, pour la première fois avec deux vaches, les montbéliardes Pacifique et Précieuse.
Brunes, Simmental, Prim'Holstein, et Montbéliardes investiront le samedi 9 avril la halle d'Aumont-Aubrac pour le concours des miss laitières. Portrait de Julien Pic, du Gaec de la Fage qui concourt cette année, pour la première fois avec deux vaches, les montbéliardes Pacifique et Précieuse.
© Marion Ghibaudo

En 2022, ce sont 130 animaux inscrits pour 50 éleveurs représentant quatre races qui se presseront sous la halle d'Aumont-Aubrac pour le concours des miss laitières, un événement attendu par les éleveurs du département.
« Ce sera l'occasion de voir les animaux des voisins et de se comparer, le tout dans une bonne ambiance », résume Julien Pic, impatient de montrer ses bêtes lors de cette journée particulière. Installé en Gaec avec ses parents, Maryse et Bruno Pic, Julien Pic a rejoint les associés au 1er avril 2019. Sur cette exploitation familiale, qui accueille la troisième génération d'agriculteurs, « toujours en montbéliarde », les concours n'étaient pas la première des préoccupations. Mais tout a changé lorsque le dernier membre du Gaec a pu aussi prendre des décisions concernant la conduite du troupeau. « D'ailleurs, la mère de Pacifique (NDLR la vache de 31 mois qu'il présente cette année), Océane, je l'avais présentée lors du dernier concours, et elle a terminé deuxième de section. Elle reste l'une des meilleures vaches de notre troupeau », pointe Julien Pic avec fierté. De là à espérer faire mieux avec Pacifique, l'agriculteur se montre, pour le moment, prudent. « Déjà, on va les présenter », s'amuse-t-il.

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