Les Cantaliens ont fait fort au concours national limousin
Le concours national de la race s’est tenu à Limoges. Les éleveurs du Cantal y étaient.

Les éleveurs du Cantal à Limoges (absents sur la photo : le Gaec Lavigne, le Gaec Souvignet et Bernard Mirmont).
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L'Union du Cantal
Le championnat se jouait cette année à domicile : le concours national de la race limousine s’est tenu du 8 au 10 septembre dans la capitale de la région Limousin. A l’aise, les éleveurs du berceau de race ont raflé la plupart des meilleurs prix d’un concours qualifié de “huppé”. En tout, ce ne sont pas moins de 200 élevages et 580 animaux qui ont défilé sur le ring. Les juges ont eu parfois du mal à départager les animaux d’une même section, tant la qualité était au rendez-vous et l’homogénéité forte. Certains ont joué leur place au dixième de point dans les classements spéciaux !
La sélection porte ses fruits
L’ensemble du schéma de sélection porte donc ses fruits, y compris dans le Cantal qui avait délégué 8 éleveurs qui ont amené 14 animaux. Le président du syndicat des éleveurs cantaliens de la race, Paul Besson, estime que la prestation offerte par le département a été remarquée du public. “Un lot homogène et bien préparé”, résume-t-il. Même si la Corrèze et la Haute-Vienne se sont logiquement taillé la part du lion, il estime que les régions hors du berceau n’ont pas eu à rougir de leurs performances. C’est notamment le cas de la Normandie, par exemple. C’est semble-t-il également le cas du Cantal, félicité notamment pour ses génisses et taureaux adultes.
Satisfaction
Paul Besson ne cache pas sa satisfaction : “L’élevage du Cantal progresse et le prouve”. Il se réjouit aussi du contact établi entre éleveurs de tous horizons, facilité par l’organisation sans faille du concours. “Nous avons pu noter sur place une grande discipline des éleveurs et la bonne tenue des animaux”, conclut-il avant de donner rendez-vous aux agriculteurs cantaliens pour l’inter-régional. Comme chaque dernier week-end d’octobre (soit cette année les 28 et 29 octobre à Montluçon), les éleveurs d’Auvergne, de Rhône-Alpes et de Lozère se mesureront. Encore une fois, le Cantal participera avec notamment des animaux jeunes nés dans l’année.
La sélection porte ses fruits
L’ensemble du schéma de sélection porte donc ses fruits, y compris dans le Cantal qui avait délégué 8 éleveurs qui ont amené 14 animaux. Le président du syndicat des éleveurs cantaliens de la race, Paul Besson, estime que la prestation offerte par le département a été remarquée du public. “Un lot homogène et bien préparé”, résume-t-il. Même si la Corrèze et la Haute-Vienne se sont logiquement taillé la part du lion, il estime que les régions hors du berceau n’ont pas eu à rougir de leurs performances. C’est notamment le cas de la Normandie, par exemple. C’est semble-t-il également le cas du Cantal, félicité notamment pour ses génisses et taureaux adultes.
Satisfaction
Paul Besson ne cache pas sa satisfaction : “L’élevage du Cantal progresse et le prouve”. Il se réjouit aussi du contact établi entre éleveurs de tous horizons, facilité par l’organisation sans faille du concours. “Nous avons pu noter sur place une grande discipline des éleveurs et la bonne tenue des animaux”, conclut-il avant de donner rendez-vous aux agriculteurs cantaliens pour l’inter-régional. Comme chaque dernier week-end d’octobre (soit cette année les 28 et 29 octobre à Montluçon), les éleveurs d’Auvergne, de Rhône-Alpes et de Lozère se mesureront. Encore une fois, le Cantal participera avec notamment des animaux jeunes nés dans l’année.