L’Auvergne, vous l’aimez comment ? Un peu, beaucoup, passionnément…
Vous aimez l’Auvergne, sa mosaïque de territoires, sa gastronomie, ses figures… au point d’en devenir un véritable ambassadeur ? Vaste question qui fait l’objet d’une enquête commanditée par la marque Auvergne à destination des auvergnats.
Association qui fédère 500 leaders publics et privés …du territoire auvergnat, la marque Auvergne agit pour l’attractivité collective des quatre départements, à l’échelle régionale et nationale. « Dans le but d’aider la marque à accomplir sa mission, nous proposons la mise en place d’un baromètre permettant de comprendre comment renforcer l’identité auvergnate, l’engagement des Auvergnats pour leur territoire en matière d’image, de dynamique touristique, économique et sociale », détaille le Dr Arnaud Banoun, enseignant-chercheur à l’ESC Clermont Business School.
Trois questionnaires
Concrètement, toute personne se sentant Auvergnate vivant en Auvergne ou pas, peut répondre aux trois questionnaires. Parmi les questions, « Encouragez-vous les autres à visiter l’Auvergne ? »,
« Défendez-vous l’Auvergne quand d’autres la critiquent ? », « Etes-vous fiers de représenter l’Auvergne ? »…Les réponses s’évaluent à chaque fois sur une échelle de 1 à 5. Un premier questionnaire a été envoyé par mail en juillet, puis un deuxième le sera en octobre, et enfin le dernier en décembre. « Il est très important que les participants remplissent bien les trois questionnaires et ce, en entier », insiste le Dr Arnaud Banoun. Les résultats seront analysés. Le résultat de ce sondage original sera connu début 2023 et partagé avec tous les participants. « L’objectif est de proposer à la marque Auvergne, de manière scientifique, des indicateurs qui permettront de communiquer sur l’identité auvergnate, de prendre les bonnes décisions pour renforcer cette identité, de disposer d’une vision claire de l’engagement des Auvergnats pour leur territoire et de mettre en place les actions les plus innovantes et pertinentes pour renforcer cet engagement », poursuit le Dr Arnaud Banoun.