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La nouvelle génération de la race charolaise sera présente à Qualiviande

Samedi 17 et dimanche 18 septembre, le concours Qualiviande aura lieu à la grande halle d'Aumont-Aubrac. L'occasion pour Anthony Poulalion, du Gaec du Chaplas à Tridos, de montrer ses charolaises pour la première fois.

Samedi 17 et dimanche 18 septembre, le concours Qualiviande aura lieu à la grande halle d'Aumont-Aubrac. L'occasion pour Anthony Poulalion, du Gaec du Chaplas à Tridos, de montrer ses charolaises pour la première fois.
Samedi 17 et dimanche 18 septembre, le concours Qualiviande aura lieu à la grande halle d'Aumont-Aubrac. L'occasion pour Anthony Poulalion, du Gaec du Chaplas à Tridos, de montrer ses charolaises pour la première fois.
© Marion Ghibaudo

Anthony Poulalion a mis du temps à s'inscrire pour Qualiviande. « J'ai été poussé par les éleveurs du syndicat », sourit-il. Les éleveurs de charolais sont peu nombreux en Lozère : moins de dix, au total, lors du dernier comptage. « Ce concours, c'est un bon moyen de faire connaître la race », note Anthony Poulalion, troisième génération d'éleveurs charolais sur la ferme familiale. À Qualiviande, il compte présenter trois bêtes (un taureau, Oregon, de 17 mois et deux femelles d'un an), sélectionnées voici près de deux mois... et pas encore tout à fait prêtes. « Ce n'est pas facile de les dresser et de les mener au licol, d'autant plus que ni elles ni moi, on a l'habitude de faire ça », soupire l'éleveur. Mais il a décidé de persévérer pour montrer son élevage sous son plus beau jour, les 17 et 18 septembre.
Installé depuis 2013, à la sortie de ses études, en Gaec avec son père Noël Poulalion, il n'a jamais vraiment voulu mettre un pied dans les concours avant ce Qualiviande, donc. Mais, une suite logique après son inscription au contrôle de performance, un service de la chambre d'agriculture de Lozère, voici trois ans. « C'est un bon moyen pour la descendance, le suivi et les techniciens donnent un bon appui sur le troupeau », note Anthony Poulalion.

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