Aller au contenu principal

La MSA se pose en interlocuteur global dans les zones rurales

Tenant sa dernière assemblée générale avant les élections professionnelles de janvier 2020 qui doivent désigner ses délégués cantonaux, la Mutualité sociale agricole (MSA) veut orienter son développement en se positionnant comme un interlocuteur global dans les zones rurales, au-delà des seuls ressortissants agricoles.

François-Emmanuel Blanc, directeur général de la caisse centrale de la mutualité sociale agricole, lors de l ‘assemblée générale du 20 juin.
François-Emmanuel Blanc, directeur général de la caisse centrale de la mutualité sociale agricole, lors de l ‘assemblée générale du 20 juin.
© MSA

« Contribuer à la lutte contre la désaffiliation sociale en territoire rural », « être un outil pour l’État qui veut reconquérir les territoires ruraux »…François-Emmanuel Blanc, le directeur général de la caisse centrale de la mutualité sociale agricole (CCMSA) n’a cessé de le réaffirmer lors d’une conférence de presse le 19 juin : face aux fractures territoriales en matière de service public mises en lumière par le mouvement des Gilets jaunes, la Mutualité sociale agricole (MSA) veut « s’impliquer plus fortement sur les territoires ruraux » au-delà des seuls ressortissants agricoles. Une manière aussi d’assumer un rôle territorial plus global face à la réduction prévue du nombre d’exploitants agricoles dans les prochaines années, notamment du fait des départs en retraite. « Nous opérons toujours sur 80 % du territoire, quel que soit le nombre d’adhérents à la MSA », a-t-il ainsi rappelé. L’orientation sera en tout cas un des axes du « plan stratégique » pour les cinq prochaines années que l’organisme  a mis au vote le 20 juin, lors de sa dernière assemblée générale avant les élections professionnelles de janvier 2020 qui doivent désigner ces délégués cantonaux.

Suite de l'article à lire dans le Réveil Lozère n°1516, du 27 juin 2019, en page 11.

Les plus lus

Les associés du Gaec de la Cartalade avec Emmanuel Grange de chez DeLaval devant les 3 robots fraichement installés.
3 robots de traite nouvelle génération pour gagner en souplesse de travail

À Mercoeur, les 5 associés du Gaec de la Cartalade ont fait le choix de traire un troupeau de 150 vaches montbéliardes à…

nombreuses personnes autour d'un robot de traite.
Robot et pâturage : mission possible !

Le robot de traite ne rime pas forcément avec stabulation intégrale. À Vic-sur-Cère, éleveurs et techniciens ont partagé…

vaches de races limousines dans un pré.
Aide au vêlage : 200 € par vêlage financés par la Région Auvergne-Rhône-Alpes

Destinée à encourager la recapitalisation du cheptel bovin viande dans la région, cette aide au vêlage ouvrira à partir de…

“Je veux pouvoir aller aux vaches en baskets !”

Chez les Noyer, à Saint-Martin-Cantalès, on ne lésine pas avec la propreté des vaches, de la stabulation et de la salle de…

vaches charolaises dans un pré.
Provision élevage : Comment les éleveurs peuvent bénéficier de cette mesure fiscale obtenue par le syndicalisme FNSEA-JA ?

La nouvelle provision élevage, déductible du résultat imposable, peut permettre aux éleveurs bovins d’économiser, dans les…

Dissolution de Gaec : quand les associés ne font plus société

Le nombre de dissolutions de Gaec pour cause de mésentente est en légère augmentation. S’ils font parler, ces cas restent…

Publicité
Titre
Je m'abonne
Body
A partir de 100€/an
Liste à puce
Accédez à tous les articles du site Réussir lait
Profitez de l’ensemble des cotations de la filière Réussir lait
Consultez les revues Réussir lait au format numérique, sur tous les supports
Ne manquez aucune information grâce aux newsletters de la filière laitière