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La FNB défend la souplesse des contrats

Lors de son congrès à Aurillac les 2 et 3 février, la FNB (producteurs de bovins viande, FNSEA) compte « remobiliser les éleveurs » sur la contractualisation, obligatoire depuis le 1er janvier. L'association spécialisée aura mené d'ici-là une quarantaine de réunions sur le terrain.

Lors de son congrès à Aurillac les 2 et 3 février, la FNB (producteurs de bovins viande, FNSEA) compte « remobiliser les éleveurs » sur la contractualisation, obligatoire depuis le 1er janvier. L'association spécialisée aura mené d'ici-là une quarantaine de réunions sur le terrain.
Lors de son congrès à Aurillac les 2 et 3 février, la FNB (producteurs de bovins viande, FNSEA) compte « remobiliser les éleveurs » sur la contractualisation, obligatoire depuis le 1er janvier. L'association spécialisée aura mené d'ici-là une quarantaine de réunions sur le terrain.
© Sophie Chatenet-Giraud

Alors que la contractualisation est devenue obligatoire depuis le 1er janvier pour certaines catégories de bovins de races à viande, les responsables de la FNB (éleveurs de bovins viande, FNSEA) se sont employés le 18 janvier à défendre la souplesse des contrats. Lors d'une conférence de presse, son président Bruno Dufayet a balayé l'argument de la « perte de liberté commerciale », brandi lors d'une manifestation en décembre à Clermont-Ferrand par un collectif de négociants et d'éleveurs. Selon M. Dufayet, les producteurs peuvent « signer plusieurs contrats et multiplier le nombre d'acheteurs sur le même produit ». Par ailleurs, la loi Egalim 2, qui fixe à trois ans la durée minimale des contrats, n'empêche pas de « redéfinir les clauses chaque année », estime-t-il. « Les éleveurs qui aiment bien négocier les prix le feront à la signature du contrat au lieu de le faire au départ des animaux », résume M. Dufayet. Et de rappeler que le syndicat « met à disposition les indicateurs » nécessaires à la rédaction des contrats (coûts de production, marché).

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