Économie et qualité de l’eau aux sources du programme
L’agence de l’eau Loire-Bretagne vient d’engager son 11e programme d’intervention doté d’un budget de plus de 2,27 milliards d’euros sur six ans.
Plus de 7 000 communes, soit 28 % du territoire national dépendent de l’agence de l’eau Loire-Bretagne. Une agence organisée en délégation, dont la délégation Allier-Loire amont qui intervient sur les bassins hydrographiques de l’Allier et de la Loire jusqu’à leur confluence. Sont concernés douze départements des régions Auvergne-Rhône-Alpes et Bourgogne-Franche-Comté : la Loire, la Haute-Loire, le Puy-de-Dôme, l’Allier, la Nièvre, la Saône-et-Loire pour l’essentiel de leur territoire, ainsi que le Cantal, l’Ardèche, la Lozère, le Rhône, la Côte-d’Or et l’Yonne pour un ou plusieurs bassins-versants. Sur l’ensemble du bassin, un nouveau programme courant jusqu’en 2024 a été adopté fin 2018. Les actions votées pour un volume financier global de 2,27 milliards d’euros sur six ans concernent prioritairement : la qualité de l’eau, les économies d’eau face au changement climatique, la solidarité avec les territoires ruraux les plus défavorisés, la restauration des rivières et des zones humides. Thierry Burlot, président du comité de bassin et son directeur général Martin Guitton étaient en Auvergne, la semaine dernière pour présenter les grandes lignes de ce onzième programme avec un focus particulier sur la délégation Allier-Loire amont.
Suite de l'article à lire dans le Réveil Lozère n°1494, du 24 janvier, en page 5.