Des pistes pour équilibrer le menu et l’addition
Le salon de l’herbe et des fourrages a été l’occasion pour les chambres d’agriculture, les instituts techniques et autres organismes de recherche de fournir des informations sur la conduite des pâturages en élevage bovin, ovin, qu’il soit allaitant ou laitie

Un large éventail de questions a été abordé : de la récolte de foin multi-espèces à l’introduction de l’herbe enrubannée ou ensilée pour l’engraissement des jeunes bovins et des génisses, en passant par les couverts végétaux qui se pâturent, à la fertilisation des prairies, jusqu’à l’entretien et la rénovation des prairies permanentes. Dénominateur commun de tous ces exposés : la prise en compte systématique des notions d’autonomie fourragère et de raisonnement des coûts alimentaires.« C’est le souci premier des éleveurs. Leur question porte essentiellement sur ces thématiques à quelques différences près selon le système et le type d’élevage qu’ils ont mis en place sur leur exploitation. Ils souhaitent trouver la meilleure combinaison entre bons résultats techniques et optimisation de la ration », témoigne Daniel Lafaye de l’Institut de l’élevage et du réseau charolais.
La suite dans le Réveil Lozère, page 8, édition du 16 juin 2016, numéro 1364.