Denis Simon à la tête d’Unicor
Entretien avec Denis Simon, nouveau directeur général arrivé il y a un peu plus d’un mois.
Vous êtes issu du monde coopératif agricole. Pouvez-vous nous en dire plus sur votre parcours ?
En effet, ma carrière professionnelle s’est inscrite dans le monde coopératif agricole, autour de trois grandes expériences. La première d’une quinzaine d’années à Agrial, l’un des premiers groupes coopératifs agricoles et agroalimentaires français qui regroupe aujourd’hui 14 000 adhérents. Puis la deuxième d’une dizaine d’années, dans le groupe D’aucy où j’avais en charge l’organisation amont du groupe, c’est-à-dire les mêmes métiers qu’Unicor excepté le machinisme. Enfin j’ai dirigé pendant deux ans et demi la coopérative Valfrance dans l’Oise, spécialisée dans les céréales et la semence, avant d’être sollicité par Unicor.
Qu’est-ce qui vous a séduit dans le projet d’Unicor ?
Les productions animales me manquaient un peu. L’effervescence de ce marché m’attire davantage que le marché un peu plus atone des céréales !
J’ai d’abord été séduit par la démarche des Halles de l’Aveyron que je considère comme le vaisseau amiral d’Unicor. Un projet d’entreprise porté par les adhérents, un projet de territoire aussi qui donne toute leur puissance aussi bien à la coopérative, qu’aux agriculteurs et à leur territoire. Un circuit efficace de création de valeur ajoutée des métiers agricoles. J’avais envie d’apporter ma contribution à cette belle réalisation en la pérennisant et en la développant. C’est une belle histoire à raconter qui touche les consommateurs.
Suite de l'article à lire dans le Réveil Lozère n°1428, du 5 octobre 2017, en page 7.