Aller au contenu principal

Après la sécheresse de 2022, un début de saison plus clément

Deux semaines après l’ouverture de la saison de pêche, la Lozère connaît enfin quelques jours de précipitations continues, entamant une recharge tardive des nappes. Quelles conséquences pour la ressource en poissons et à quoi doit-on s’attendre pour ce printemps ? Le point avec Valérie Prouha, directrice technique de la fédération de pêche de Lozère.

Deux semaines après l’ouverture de la saison de pêche, la Lozère connaît enfin quelques jours de précipitations continues, entamant une recharge tardive des nappes. Quelles conséquences pour la ressource en poissons et à quoi doit-on s’attendre pour ce printemps ? Le point avec Valérie Prouha, directrice technique de la fédération de pêche de Lozère.
Deux semaines après l’ouverture de la saison de pêche, la Lozère connaît enfin quelques jours de précipitations continues, entamant une recharge tardive des nappes. Quelles conséquences pour la ressource en poissons et à quoi doit-on s’attendre pour ce printemps ? Le point avec Valérie Prouha, directrice technique de la fédération de pêche de Lozère.
© Aurélie Pasquelin/Illustration

La sécheresse de l’été dernier a été l’occasion pour la fédération d’éprouver ses capacités de réactivité face à un événement extrême en décidant l’arrêt de la pêche à compter de la mi-août. « Réagir en une semaine en plein été, ce n’était quand même pas simple » admet la directrice technique. Selon elle, les usagers ont globalement plutôt bien réagi, notamment informés par e-mail pour les détenteurs de carte de pêche informatisée qui acceptent de recevoir les informations.
Les comptages réalisés sur les cours d’eaux moyens se sont avérés meilleurs que prévu : « contrairement à ce qu’on aurait pu imaginer, il n’y a pas eu de catastrophe ». La Lozère abritant les parties amont du Lot, du Tarn ou de la Truyère, les eaux y sont naturellement plus fraîches et le territoire n’a pas eu à souffrir autant des problématiques de stress hydrique qu’ont subi les truites dans le sud Aveyron par exemple. Reste en revanche que des assecs se sont multipliés sur les petits linéaires dits « chevelus » en amont des principales rivières. Pour mieux mesurer ces évolutions, la fédération de pêche étudie la mise en place d’un réseau de suivi de la température, d’oxygène et de débit dès cette année sur le départem

Les plus lus

Territoire Viande : des pros de la cheville

Créée en 2013 par Simon Fric, l’entreprise naucelloise est un acteur reconnu du commerce de gros et demi-gros positionné sur…

le groupes des lieutenents de louveteirie
Lunettes thermiques vs loup

Assermentés pour prélever le loup, les louvetiers vont utiliser du nouveau matériel pour leurs missions de nuit.

Jeune fille tenant un veau salers
Romane, 9 ans, et Vainqueur, 9 mois, un duo inséparable

 À 9 ans, Romane marche déjà dans les pas de son père, Cédric Debladis, éleveur salers bio à Lascelles (Cantal). Tous…

une vache beige au milieu d'un groupe de personnes
Le Départemental aubrac prime la qualité

Quatre cent vingt animaux étaient en lice dimanche pour le concours départemental aubrac à Chaudes-Aigues. Le titre de Miss…

Médecins : comment le Cantal a inversé sa courbe démographique ?

Depuis début 2020, le Cantal gagne des médecins, les inscriptions dépassant désormais les radiations, le fruit d’une politique…

jeune éleveur brossant une vache salers dans un pré
Montagne, nouvelle égérie salers ?

Géraud Semeteys a repris en janvier l’exploitation Manhès à Arpajon-sur-Cère. Un cheptel à la génétique reconnue qu’il entend…

Publicité
Titre
Je m'abonne
Body
A partir de 100€/an
Liste à puce
Accédez à tous les articles du site Réussir lait
Profitez de l’ensemble des cotations de la filière Réussir lait
Consultez les revues Réussir lait au format numérique, sur tous les supports
Ne manquez aucune information grâce aux newsletters de la filière laitière