2018, année difficile mais le rebond arrive
Réunis pour leur assemblée générale à Antrenas jeudi dernier, les adhérents Fleur d’Aubrac ont pu revenir sur une année 2018 difficile. 2019 s’annonce déjà comme meilleure.

Entre résultats comptables dans le négatif et baisse des volumes de production, l’année 2018 aura été compliquée pour l’association Fleur d’Aubrac. Pour la partie comptable, « l’association s’est séparée de l’animatrice à plein temps, permettant de remettre les comptes dans le positif », a expliqué Hervé Chapelle, directeur de Célia, lors de l’assemblée générale de l’association qui se tenait lundi dernier à Antrenas. Pour la remplacer : Juliette Rétif, salariée de la coopérative suit l’association. Elle a profité de l’assemblée générale pour présenter les chiffres 2018. Ainsi l’année dernière, la filière a commercialisé 1 398 génisses, soit 94 de moins que l’année précédente. Malgré cela, les prix se sont maintenus avec en moyenne 250 euros de plus sur une génisse. « Les filières Fleur d’Aubrac et Bœuf fermier Aubrac permettent de sécuriser une partie du chiffre d’affaires d’une exploitation », rappelle Hervé Chapelle.
Suite de l'article à lire dans le Réveil Lozère n°1524, du 5 septembre 2019, en page 3.