Trop !
Il y a une chose sur laquelle tout le monde s’accorde au sujet de la crise du CPE, c’est qu’elle a relégué au second plan celle de la grippe aviaire… Et ce n’est pas plus mal. Du coup, ce sont les journalistes qui sont accusés, à juste titre d’ailleurs, d’avoir voulu faire du «sensationnel» avec les déboires de la filière avicole. En effet, après en avoir fait des tartines, évoquant des effets dévastateurs sur la santé, l’économie avec des millions d’emplois menacés et j’en oublie, certains grands médias se sont «lâchés». Des sénateurs insistent, en évoquant que la principale cause de la crise de la grippe aviaire actuelle, c’est «la précipitation des journalistes». Des images chocs, des titres terribles, vite oubliés avec le CPE…