Territoires et Environnement
Elisabeth Borne a choisi le décor du Parc national de forêts pour son premier Atelier des territoires
Pour la ministre de la Transition écologique et solidaire, le Parc national de forêts est un laboratoire à ciel ouvert sur le fonctionnement et la gestion des écosystèmes complexes ». Durant trois jours, le site a accueilli le premier « Atelier des Territoires ». Objectif : définir le plan d’action et accompagner les acteurs locaux dans la déclinaison de la charte du parc.
Pour la ministre de la Transition écologique et solidaire, le Parc national de forêts est un laboratoire à ciel ouvert sur le fonctionnement et la gestion des écosystèmes complexes ». Durant trois jours, le site a accueilli le premier « Atelier des Territoires ». Objectif : définir le plan d’action et accompagner les acteurs locaux dans la déclinaison de la charte du parc.
Pour le lancement du premier « Atelier des Territoires », la ministre de la Transition écologique et solidaire a choisi le cadre du Parc national de forêts inauguré le 8 novembre 2019. Elisabeth Borne s’est rendue le 23 janvier à Arc en Barrois, en Haute-Marne, pour la clôture de la première session de trois jours de cette initiative lancée par l’Etat. Ces premières rencontres avaient pour thème « Regards croisés des acteurs et recueil de leurs attentes ». Durant trois jours, le parc était donc au cœur des préoccupations et des discussions, l’objectif étant de définir un plan d’actions d’actions pour accompagner les acteurs locaux « dans la déclinaison concrète de la charte » de ce parc à cheval sur les régions Champagne et Bourgogne.
Ne pas « mettre sous cloche » mais « développer les projets »
Pour la ministre, le parc est « une promesse d’avenir du territoire, un laboratoire à ciel ouvert sur le fonctionnement et la gestion des écosystèmes complexes », rapporte l’Avenir agricole et rural de la Haute-Marne. Et d’assurer que le but « ce n’est pas de mettre sous cloche, mais de développer les projets. Il n’y a pas d’un côté la valorisation économique et de l’autre la protection de la nature ».
Le parc compte 127 communes et 70 d’entre-elles ont déposé des projets, informe encore le journal. Des représentants d’autres parcs sont venus témoigner de leur expérience. Et l’assurance a été donnée que les communes du parc peuvent compter sur des fonds européens pour subventionner leurs projets. La ministre a par ailleurs annoncé « qu’une dotation globale de fonctionnement annuelle de 690 000 € (dédiée à la diversité) sera partagée entre les communes de la zone de coeur qui ont adhéré à la charte. Il a été dit qu’un euro investi génère à minima 16 euros de retombées économiques », relate le journal de la Haute-Marne.
Lire intégralité de l’article « Concilier économie et environnement » dans l’Avenir agricole et rural de la Haute-Marne.
A écouter aussi, sur France Inter, l'émission CO2 mon Amour de Denis Cheissoux diffusée le 3 novembre 2019 : « Hêtre ou ne pas être un Parc national de forêts ? »