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Special Concours Aubrac
La Fleur d’Aubrac, une filière qui a le vent en poupe

La marque Fleur d’Aubrac a été reconnue depuis 1991. Aujourd’hui, 200 éleveurs produisent cette génisse croisée, de mère Aubrac et de père Charolais, entre la Lozère, l’Aveyron, le Cantal et une partie de la Haute Loire, c’est à dire en terre Aubrac.

Vincent Garnier, éleveur à Chantegrenouille, commune de Saint Laurent de Muret
Vincent Garnier, éleveur à Chantegrenouille, commune de Saint Laurent de Muret
© Emilie Wood

La génisse « Fleur d’Aubrac » est une femelle n’ayant jamais vêlé qui est abattue à un âge compris entre 24 et 42 mois. Dès sa naissance, elle est élevée au lait de sa mère jusqu’au sevrage qui ne doit pas intervenir moins de 6 mois après la naissance. Lors de la mise à l’herbe, elle broute à volonté sur les pâturages de l’Aubrac.

Vincent Granier est éleveur à Chantegrenouille, dans la commune de Saint Laurent de Muret ainsi que président de l’association Fleur d’Aubrac depuis deux ans et demie. Il aimerait voir d’avantage d’éleveurs rejoindre les rangs de l’association et produire de la Fleur d’Aubrac. « Le prix de vente de la Fleur d’Aubrac est devenu plus attractif, et il y a une forte demande. » Pour être reconnues Fleur d’Aubrac, les génisses doivent être nées, élevées, et abattues dans la zone de l’IGP (indication géographique protégée.) Les éleveurs doivent également respecter la charte de bonnes pratiques d’élevage, et adhérer à l’un des deux groupements de producteurs : la Cemac Cobévial ou Bovi plateau central.

 

A lire dans le numéro spécial "Concours départemental Aubrac"

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