Doit-on craindre ou s’inspirer du modèle néozélandais ?
Les éleveurs ovins français décryptent la filière ovine néozélandaise avant le grand match de l’après Brexit.
La Nouvelle-Zélande est peuplée de 20 millions de brebis pour à peine 5 millions d’habitants. Un climat favorable à la pousse de l’herbe sur des sols volcaniques et une SAU composée à 75 % de prairies, voilà l’écrin idyllique permettant au pays d’être le troisième producteur mondial de viande ovine. Il est surtout le premier fournisseur de l’Union européenne. Cependant, le pays doit-il sa réussite ovine uniquement aux hasards du Big-Bang ? C’est la question à laquelle les éleveurs français et l’Institut de l’élevage tentent de répondre. Brigitte Singla, secrétaire générale adjointe à la FNO l’affirme : « certes, nous ne pouvons pas importer les vertes prairies de Nouvelle-Zélande, mais il y a sûrement des techniques dont nous pouvons nous inspirer ».
Suite de l'article à lire dans le Réveil Lozère n°1481, du 25 octobre 2018, en page 9.