VITIBOT
Le robot 2.0 sera électrique
La start-up champenoise Vitibot enclenche une nouvelle étape dans le développement d’automoteurs robotisés pour la vigne. Les visiteurs ont ainsi pu découvrir l’ébauche graphique d’un futur enjambeur autonome, animé électriquement. La solution d’enjambement a été privilégiée pour une question de stabilité. Doté de quatre roues motrices et directrices, l’engin devrait avoir une autonomie de 10 à 12 heures.
Des Turbipano en Champagne
Collard s’est associé avec Dagnaud pour adapter des panneaux récupérateurs sur enjambeurs. Traitant quatre rangs complets, les panneaux coulissent pour revenir à une largeur hors tout semblable à celle de l’enjambeur en position route. Les panneaux sont montés sur glissière, ce qui permet de les lever entièrement pour passer aisément au-dessus des vignes. Selon les besoins du viticulteur, Collard peut brancher cet équipement de pulvérisation sur des cellules existantes.
Travail du sol pour la viticulture
Bien connu en grandes cultures, le constructeur de matériels de travail du sol Franquet débarque avec une offre de solutions de travail du sol. L’Axonais propose ainsi des outils porte-dents capables de scalper en surface, ou de décompacter en profondeur en ôtant les ailettes. Selon le type de sol, différentes sécurités de dents sont proposées, à ressort (deux types proposés) ou à élastomère. Derrière, il est possible d’installer des rouleaux à barres classiques ou un rouleau Synchrospire (deux spires entrelacées). Ce dernier rouleau est aussi utilisé en solo en viticulture en guise de rolofaca.
Trois nouveaux enjambeurs
En collaboration avec le concessionnaire Hydro Viti, Vermande lance une nouvelle offre d’enjambeurs destinés à la Champagne. Elle complète l’enjambeur VV 1200 lancé l’an dernier à Épernay, dont elle reprend les principales caractéristiques : cabine, transmission hydrostatique Poclain. Baptisée 2204 V, cette nouvelle offre motorisée par Kohler se décline en trois puissances de 100 ch, 120 ch et 140 ch. Elle se distingue de la VV 1200 par un gabarit plus compact et par une voie variable mécanique, à définir à la commande, de façon à être plus accessible.
Une rogneuse à aspiration d’air
Le constructeur girondin dévoile une nouvelle rogneuse, dont l’aérodynamisme a été étudié pour aspirer le feuillage sans les grappes, permettant une coupe à une distance plus importante, laissant ainsi une marge de sécurité notamment quand on donne un mauvais coup de volant. Chaque lamier dispose d’une soupape de sécurité au cas où il toucherait accidentellement le sol, limitant ainsi tout dommage sur le lamier et le circuit hydraulique. Ce dernier intègre un bloc distributeur, piloté depuis un boîtier électronique en cabine et alimenté par une seule ligne hydraulique.
Une benne pour les Grégoire G5
Pour les tracteurs enjambeurs polyvalents Grégoire G5, Thiérart propose un plateau à ridelles de dimensions 150 x 230 cm, capable de benner derrière, à gauche ou à droite.
Des rouleaux bêches pour aérer
Afin d’aérer le sol, ETR Breton monte des rouleaux bêches à quatre branches de 60 cm de large. Ces rouleaux sont orientables selon trois positions pour un travail plus ou moins agressif.
Effeuiller avec l’enjambeur qui pulvérise
Afin d’optimiser l’utilisation des enjambeurs, le constructeur champenois propose de monter le bloc compresseur de son effeuilleuse deux rangs en position centrale, sous la cabine, afin de laisser libre le plateau supérieur arrière, pour y placer une cellule de pulvérisation par exemple.
Effeuilleuse motorisée sur chenillard
Pour faire face au manque de puissance, notamment hydraulique, de certains chenillards, Collard propose d’installer un moteur pour animer l’outil, le moteur du chenillard ne servant alors plus qu’à l’avancement.
L’ensemble moteur et effeuilleuse se monte et se démonte rapidement.
Un enjambeur électrique pour le travail du sol
Afin d’exploiter pleinement l’enjambeur électrique, Kremer Énergie décline une version dite T4H, dont l’un des packs de batteries a été déplacé derrière la cabine. Il libère ainsi de la place pour positionner un outil de travail du sol tiré en position centrale, ce qui n’était pas possible avec le T4E. Les autres caractéristiques restent identiques à son aîné.
Kremer Énergie propose également en option un chargeur rapide, pour recharger en 3 heures au lieu des 8 heures habituelles.
Une prétailleuse qui rentre dans la camionnette
Le concessionnaire adapte un support mobile et pivotant pour monter une prétailleuse sur une chenillette. Monté sur support coulissant, un contrepoids se déplace vers la gauche en même temps que la prétailleuse se déporte vers la droite pour équilibrer l’ensemble. En outre, le support est rotatif pour pivoter la prétailleuse vers l’avant en position transport et pour pouvoir charger l’ensemble dans une camionnette.