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[Vidéo] Nicolas Delobel : « Ma coop m’apporte de la technicité sur l’agriculture de conservation des sols »
A 28 ans Nicolas Delobel est agriculteur dans la Somme. Installé sur l’exploitation familiale, il a choisi de conduire ses cultures en agriculture de conservation des sols. Un système « compliqué » pour lequel il vaut mieux ne pas être seul. Sa coopérative l’accompagne et lui apporte la technicité nécessaire. Aujourd’hui, ce qui caractérise son exploitation, c’est la biodiversité, » se réjouit-il.
A 28 ans Nicolas Delobel est agriculteur dans la Somme. Installé sur l’exploitation familiale, il a choisi de conduire ses cultures en agriculture de conservation des sols. Un système « compliqué » pour lequel il vaut mieux ne pas être seul. Sa coopérative l’accompagne et lui apporte la technicité nécessaire. Aujourd’hui, ce qui caractérise son exploitation, c’est la biodiversité, » se réjouit-il.
Avant de revenir en Picardie, Nicolas Delobel a étudié le droit. Après son master à la Sorbonne, une expérience professionnelle le conduit au ministère de l’Agriculture. Puis en 2017, il s’installe sur l’exploitation familiale à Domart en Ponthieu dans la Somme. A 28 ans, il est un fervent défenseur de la ruralité et a déjà écrit un livre : « Je suis ruralité ».
« J’avais besoin de retrouver ce lien de proximité avec la ruralité et avec l’exploitation familiale ».
Pour cultiver blé, orge, betteraves, maïs, vesce, pois d’hiver et pois de printemps, l’agriculteur picard a choisi l’agriculture de conservation des sols. Il ne touche pas à son sol, pratique le semis direct, cultive des couverts végétaux entre deux cultures.
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Le semis direct permet d’amener de la biodiversité
Un système cultural qui permet de « ramener de la vie dans le sol, des vers de terre, des insectes, » explique-t-il. « On amène de la biodiversité, on maintient les haies, donc des fleurs, et on retrouve aussi beaucoup d’insectes, » se réjouit le jeune céréalier. Mais « c’est assez compliqué, » reconnaît-il. C’est pourquoi, il a tenu à être accompagné, en particulier par sa coopérative. L’expertise de la coop lui permet d’acquérir la technicité nécessaire sur l’agriculture de conservation. « C’est un plus, » estime-t-il.
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