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Union française des semenciers
Une véritable force de propositions

APRES UNE première année d’existence, l’Union française des semenciers (UFS) assume pleinement son rôle de promotion et de défense des métiers de ses adhérents. « Elle est maintenant force de propositions reconnue auprès de l’interprofession et des pouvoirs publics », a affirmé Eric Devron, le nouveau directeur général de l’UFS, lors de sa première assemblée générale, qui s’est déroulée mardi 9 novembre à Paris. Son action s’étend également à l’international, par ses contributions dans les instances européennes (Esa – European Seed Association) et mondiales (ISF –International Seed Federation) sur des dossiers aussi épineux que nombreux, sur lesquels nous reviendrons dans un prochain article. « La création de l’Esa a permis un gain de crédit et de poids politique au niveau de l’UE ; c’est ce que nous cherchons à obtenir au niveau français », a déclaré le dirigeant. Mis en place en 2009, le syndicat, fort de ses 135 entreprises semencières adhérentes, souhaite représenter les positions de l’industrie française des semences. Pour atteindre ses objectifs, l’UFS a opté pour une organisation matricielle qui lui permet « de garder les spécificités de chaque espèce végétale tout en apportant une dynamique supplémentaire par rapport aux compétences des six anciennes fédérations semencières, en traitant de façon transversale certains sujets communs », a expliqué le DG. Et son président, François Desprez d’ajouter :« C’est un modèle d’organisation équilibré et opérationnel. Cependant, on est saisi de tellement de sujets techniques et réglementaires compliqués qu’aujourd’hui mêmes les plus dubitatifs vis-à-vis du projet (de création de l’Union, NDLR) en sont maintenant convaincus car l’UFS prend des positions et éclaire leurs perspectives pour l’avenir. »

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