Repères
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C’est, en millions d’euros, le niveau de l’excédent commercial réalisé en 2011 par le secteur des céréales pour le petit déjeuner. Il s’agit de l’un des rares marchés agroalimentaire français à posséder un solde commercial positif, et de surcroît enregistrant une progression d’une année sur l’autre.
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C’est, en millions de tonnes, le poids du marché français (hors hard discount et “hors domicile”) des céréales du petit déjeuner en 2011 (606,2 M€), selon les chiffres-clé du Syndicat français des céréales prêtes à consommer ou à préparer. En 2010 et 2009, ce chiffre atteignait, respectivement, 104 et 101,5 Mt (589,4 et 585 M€). La consommation nationale suit, comme la balance commerciale, une tendance haussière sur les trois dernières années. Dans le détail, c’est le segment des céréales bio et diététiques qui opére une ascension fulgurante avec 2.270 t (15,4 M€) en 2011, contre 1.482 t (10,2 M€) en 2009. Cependant, celui des céréales prêtes à consommer représente la majorité des volumes produits, avec 100.160 t (582,6 M€) en 2011, contre 97.762 t (568 M€) en 2009. En 2010, la production française de céréales pour petit déjeuner est relativement stable à 168.000 t pour une consommation d’environ 120.000 t.
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C’est le nombre de sites de production hexagonaux de céréales pour petit déjeuner. Ils transforment environ 100.000 t de céréales dont 64 % de grains entiers, 33 % de farines (blé majoritairement) et 3 % sous une autre forme (comme les germes de blé). Parmi les dix industriels, adhérents à Alliance 7 et qui représentent 90 % du marché français, 40 % sont des petites entreprises, 40 % des moyennes et 20 % des grandes entreprises, qui totalisent 2.770 emplois directs.