La filière lin européenne décidée à obtenir la reconnaissance de son savoir-faire via une IGP
Les producteurs de lin européens fournissent 80 % de la fibre textile au niveau mondial. Cela vaut bien une reconnaissance. La filière a décidé d’enclencher les démarches en vue de l’obtention d’une IGP (indication géographique protégée).
Les producteurs de lin européens fournissent 80 % de la fibre textile au niveau mondial. Cela vaut bien une reconnaissance. La filière a décidé d’enclencher les démarches en vue de l’obtention d’une IGP (indication géographique protégée).

S’il y a un domaine où les Européens excellent, c’est le lin. Trois pays assurent 80 % de la production mondiale. La culture du lin s’étend « sur la bande côtière allant de la Normandie aux Pays-Bas, en passant par le Nord, le Pas-de-Calais et la Belgique », précise Terre et Territoires. La filière européenne, réunie au sein de la CELC (Confédération européenne du lin et du chanvre) a donc décidé de faire reconnaître son savoir-faire à travers un signe de qualité : l’indication géographique protégée (IGP). L’association générale des producteurs de lin (AGPL) a annoncé début février son intention de déposer le dossier de demande d’ici la fin de l’année 2020. Première étape : la rédaction d’un cahier des charges.
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