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[DOSSIER] Le défi de l’autonomie protéique en élevage caprin

Si les systèmes valorisant l'herbe  et les légumineuses sont souvent les plus autonomes, ils ne sont pas toujours accessibles. Et il existe des gains d'autonomie dans tous les types de rations.

Si les élevages caprins français sont en moyenne autonomes à 61 % pour leur alimentation, il n’en est pas de même pour les apports en protéines végétales avec seulement 47 % d’autonomie protéique. Pourtant, il est possible d’accroître la production de protéines en élevage grâce à des légumineuses pures, des prairies à base de légumineuses ou des mélanges céréales-protéagineux. De même, on peut valoriser en élevage les tourteaux et graines d’oléoprotéagineux produits en France et en Europe en lieu et place des tourteaux de soja importés. Le programme Cap Protéines renforce les connaissances agronomiques et zootechniques et veut montrer des exemples réussis d’élevages autonomes. Explication des enjeux.

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