Détection des chaleurs
Deux utilisations de la synchronisation des chaleurs
Détection des chaleurs
Le Gaec Ducos, avec ses 90 Blondes d’Aquitaine dans la Haute-Garonne, utilise la synchronisation des chaleurs pour une détection efficace. Alors qu’au Gaec Rouge et Plas, la synchronisation est un outil pour regrouper les vêlages des 230 Limousines sur deux mois de l’année.
« Depuis quatre ans, nous
sommes passés en toute IA,
mais il n’est pas facile de
détecter les chaleurs sur les
Blondes. C’est pourquoi, nous
utilisons la synchronisation des chaleurs à l’aide de
spirales, plus faciles à poser
que des implants. Nous regroupons
10 à 15 vaches à chaque
fois, ce qui constitue un box »,
explique Marc Ducos, l’un des
associés du Gaec. Chaque case
correspond à un mois de
vêlage. Les inséminations sont
réparties de novembre à juin.
Le taux de réussite en première
IA est de 60 % « et nous comptons
en moyenne 1,2 à 1,3 IA
par vache pour un intervalle
vêlage-vêlage de 390 jours.
Cette technique, nous permet
de faire venir les vaches en
chaleur et de nous simplifier le travail, car malgré une
surveillance trois fois par jour,
on ne voit pas systématiquement
les chaleurs. »
Autre exploitation, autre utilisation. Au Gaec Rouge et Plas, deux raisons ont poussé les éleveurs à choisir la synchronisation : pas besoin de détecter les chaleurs et grouper les vêlages. « Cette technique, nous permet de caler les vêlages sur une période bien définie de deux mois, pour une meilleure organisation du travail. Les inséminations commencent au premier novembre et des échographies sont réalisées en mars. Toutes les bêtes vides partent à la boucherie », commente Didier Plas, l’un des associés. Par contre, depuis deux ans, les éleveurs sont passés des implants (avec un taux de réussite en première IA de 65 %) à une nouvelle spirale en expérimentation, qui ne les satisfait pas, leur taux de réussite ayant chuté à moins de 50 %.
Autre exploitation, autre utilisation. Au Gaec Rouge et Plas, deux raisons ont poussé les éleveurs à choisir la synchronisation : pas besoin de détecter les chaleurs et grouper les vêlages. « Cette technique, nous permet de caler les vêlages sur une période bien définie de deux mois, pour une meilleure organisation du travail. Les inséminations commencent au premier novembre et des échographies sont réalisées en mars. Toutes les bêtes vides partent à la boucherie », commente Didier Plas, l’un des associés. Par contre, depuis deux ans, les éleveurs sont passés des implants (avec un taux de réussite en première IA de 65 %) à une nouvelle spirale en expérimentation, qui ne les satisfait pas, leur taux de réussite ayant chuté à moins de 50 %.