Une nouvelle population créatrice d´activité
Issus de toute l´Europe, et parfois de bien plus loin, des hommes et des femmes ont choisi de créer leur propre affaire dans un département qui se veut terre d´accueil.
Ils sont hollandais, belges ou allemands. D´autres encore viennent du Canada ou de Russie. Ils ont délibérément choisi de changer de vie, de partir loin de chez eux pour s´installer dans le Cantal. La plupart ont quitté une bonne situation professionnelle pour gagner en qualité de vie. Ils exercent désormais une nouvelle activité liée à l´artisanat, au commerce ou même à l´agriculture. Ceux d´entre eux qui sont ressortissants de la Chambre de commerce et d´industrie du Cantal (CCI) travaillent en majorité dans le secteur touristique. Le président Bouniol a choisi de les réunir dernièrement, au cours d´un rendez-vous informel. Huit d´entre eux ont répondu positivement. L´occasion pour les services de la CCI, à travers cet échantillon, de mieux cerner cette nouvelle population.
Mieux les connaître
Car ces étrangers qui créent de l´activité dans le Cantal sont les bienvenus : ils sont régulièrement prospectés par les chambres consulaires, dans le cadre de la priorité départementale d´accueil de populations nouvelles. Une politique qui porte ses fruits. Selon Bernard Bouniol, les installations de ressortissants européens ou de pays tiers se sont accélérées ces dernières années, notamment en milieu rural. La seule Chambre de commerce en comptabilise une bonne quarantaine inscrite en cinq ans. Ils représenteraient désormais entre 1,5 % et 2 % des chefs d´entreprises du Cantal. "Encore peu de gens ont pris conscience du phénomène", constate le président Bouniol. Il est vrai que leur parcours reste souvent discret. "Comment ont-ils connu le département et les entreprises transmissibles ?", s´interroge la CCI. "Chacun a sa propre histoire que nous souhaitons connaître. Nous voulons savoir ce qui a motivé leur démarche et quelles filières les ont conduits jusqu´à nous", ne cachent pas les services de la CCI.
Rendre les services de prospection plus efficaces
Une sorte de petite enquête pour rendre les services de prospection plus efficaces. Les réunir -pourquoi pas à intervalle régulier- peut également avoir pour objet de les informer sur leurs droits et les nouveaux services auxquels ils peuvent prétendre. Mardi, Bernard Bouniol leur a même livré un scoop. Ceux qui travaillent dans l´hébergement vont pouvoir monter un produit touristique incluant l´avion au prix record de 110 euros le billet aller-retour Paris/Aurillac sur un séjour court (avec pour nouveauté le retour le dimanche soir à 18 h 12). Voire 100 euros pour ceux qui passeront du lundi au vendredi dans le Cantal. L´assemblage de ce produit touristique sera assuré par l´office de tourisme d´Aurillac contre une commission de 15 %.
Mieux les connaître
Car ces étrangers qui créent de l´activité dans le Cantal sont les bienvenus : ils sont régulièrement prospectés par les chambres consulaires, dans le cadre de la priorité départementale d´accueil de populations nouvelles. Une politique qui porte ses fruits. Selon Bernard Bouniol, les installations de ressortissants européens ou de pays tiers se sont accélérées ces dernières années, notamment en milieu rural. La seule Chambre de commerce en comptabilise une bonne quarantaine inscrite en cinq ans. Ils représenteraient désormais entre 1,5 % et 2 % des chefs d´entreprises du Cantal. "Encore peu de gens ont pris conscience du phénomène", constate le président Bouniol. Il est vrai que leur parcours reste souvent discret. "Comment ont-ils connu le département et les entreprises transmissibles ?", s´interroge la CCI. "Chacun a sa propre histoire que nous souhaitons connaître. Nous voulons savoir ce qui a motivé leur démarche et quelles filières les ont conduits jusqu´à nous", ne cachent pas les services de la CCI.
Rendre les services de prospection plus efficaces
Une sorte de petite enquête pour rendre les services de prospection plus efficaces. Les réunir -pourquoi pas à intervalle régulier- peut également avoir pour objet de les informer sur leurs droits et les nouveaux services auxquels ils peuvent prétendre. Mardi, Bernard Bouniol leur a même livré un scoop. Ceux qui travaillent dans l´hébergement vont pouvoir monter un produit touristique incluant l´avion au prix record de 110 euros le billet aller-retour Paris/Aurillac sur un séjour court (avec pour nouveauté le retour le dimanche soir à 18 h 12). Voire 100 euros pour ceux qui passeront du lundi au vendredi dans le Cantal. L´assemblage de ce produit touristique sera assuré par l´office de tourisme d´Aurillac contre une commission de 15 %.