Un réseau “Cantal accueil” se structure
Adasea, Chambre de métiers, CCI et Comité d’expansion unissent leurs efforts en faveur des candidats à l’installation et mutualisent leurs données sur une seule base extranet.
Le site extranet qui abrite la banque de données (qui n’est pas consultable par les particuliers) a été présenté aux agents de territoire.
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L'Union du Cantal
Le Cantal a besoin de sang neuf. Attirer des populations nouvelles en
général -jeunes et actives en particulier- est devenu une préoccupation
partagée par tous. Des entreprises artisanales sont à reprendre en
milieu rural ; de nombreux Gaec agricoles vont voir un ou
plusieurs de leurs associés faire valoir prochainement des droits à la
retraite (le travail risque donc de doubler pour ceux qui restent) ;
des territoires ont besoin d’idées neuves pour être valorisés... Depuis
longtemps, la Chambre de métiers, la Chambre de commerce, l’Adasea du
Cantal (en charge du répertoire départemental à l’installation
agricole) et le comité d’expansion économique (Cantal-développement)
partagent les mêmes préoccupations. Ils sont déjà les principaux
partenaires des sessions d’accueil d’actifs engagées sur différents
territoires, et dont la prochaine se tiendra dans quelques jours en
pays de La Roquebrou.
Une base d’échange entre offres et projets
Ces quatre structures comptent aussi travailler de manière efficace et cordonnée tout au long de l’année. C’est pourquoi elles viennent de constituer un réseau commun baptisé “Réseau cantal accueil” qui dispose d’un outil partagé : un site extranet. Il s’agit d’une base de donnée à l’accès limité et sécurisée par code d’accès. Ouverte naturellement aux quatre fondateurs, elle le sera également à d’autres acteurs économiques du Cantal (comme les intercommunalités ou l’agence Entreprendre au pays d’Aurillac par exemple) et même des intervenants extérieurs, comme des organismes consulaires d’autres régions, susceptibles d’enrichir cette base en proposant des candidats potentiels. Mardi 13 juin à Sainte-Eulalie, ce nouvel outil interactif a été présenté aux agents de développement territoriaux, issus de tout le département. “Une première étape pour formaliser le nouveau réseau”, résume Bruno Avignon, directeur de Cantal-développement.
Une forme de “traçabilité”
Il confirme que cet extranet a pour objet de fournir un maximum d’informations sur les offres départementales et, d’autre part, de recenser les porteurs de projet et d’assurer plus facilement le suivi en sachant à tout moment à quelle stade en est le projet. “Une forme de traçabilité”, souligne M. Avignon. Ce nouvel outil, assorti de l’engagement des collectivités et structures professionnelles, devrait permettre de quantifier le taux de réussite des installations potentielles, dans tous les secteurs professionnels. Avec bien sûr l’espoir d’être plus efficace que jamais.
Une base d’échange entre offres et projets
Ces quatre structures comptent aussi travailler de manière efficace et cordonnée tout au long de l’année. C’est pourquoi elles viennent de constituer un réseau commun baptisé “Réseau cantal accueil” qui dispose d’un outil partagé : un site extranet. Il s’agit d’une base de donnée à l’accès limité et sécurisée par code d’accès. Ouverte naturellement aux quatre fondateurs, elle le sera également à d’autres acteurs économiques du Cantal (comme les intercommunalités ou l’agence Entreprendre au pays d’Aurillac par exemple) et même des intervenants extérieurs, comme des organismes consulaires d’autres régions, susceptibles d’enrichir cette base en proposant des candidats potentiels. Mardi 13 juin à Sainte-Eulalie, ce nouvel outil interactif a été présenté aux agents de développement territoriaux, issus de tout le département. “Une première étape pour formaliser le nouveau réseau”, résume Bruno Avignon, directeur de Cantal-développement.
Une forme de “traçabilité”
Il confirme que cet extranet a pour objet de fournir un maximum d’informations sur les offres départementales et, d’autre part, de recenser les porteurs de projet et d’assurer plus facilement le suivi en sachant à tout moment à quelle stade en est le projet. “Une forme de traçabilité”, souligne M. Avignon. Ce nouvel outil, assorti de l’engagement des collectivités et structures professionnelles, devrait permettre de quantifier le taux de réussite des installations potentielles, dans tous les secteurs professionnels. Avec bien sûr l’espoir d’être plus efficace que jamais.