Le délégué cantonal de GDS Creuse
Un relais pour renforcer la proximité
En santé animale, les données évoluent rapidement avec un impact collectif majeur. Le délégué cantonal de GDS Creuse constitue un relais privilégié dans notre dispositif sanitaire départemental.
La rénovation de l’organisation sanitaire française, initiée avec les États Généraux du Sanitaire depuis début 2010, était nécessaire avec les évolutions des élevages, des éleveurs et de leur environnement. Dans cette nouvelle gouvernance, le maintien du trépied historique, administration (DDCSPP), vétérinaires, éleveurs (GDS) comme socle s’est révélé incontournable. Le délégué cantonal, relais de proximité, voit son rôle renforcé dans ce schéma d’approche sanitaire collective encore plus indispensable aujourd’hui.
Le délégué cantonal de GDS Creuse, un relais d’information privilégié
Une des missions du délégué cantonal est de remonter les besoins et d’assurer le relais d’information, entre le terrain et nous, pour toutes problématiques ou demandes propres à une zone, une production ou un type d’élevage. Pour cette mission, le délégué reçoit une information trimestrielle avec un bilan des actions réalisées et une présentation des événements à venir. Également, pour faire évoluer nos actions en adéquation avec vos besoins, une sollicitation, par le biais de questionnaires, est effectuée auprès de chaque délégué. Par ailleurs, le délégué cantonal est consulté dans le cadre de la commission protection animale. En tant qu’acteur de terrain, il a connaissance des problèmes que peuvent rencontrer certains éleveurs. Le délégué cantonal représente donc un de nos interlocuteurs privilégiés.
Une participation active à la politique sanitaire du département
Chaque année, au mois d’avril, l’assemblée générale (AG) de GDS Creuse rassemble nos délégués cantonaux. Elle discute et entérine la politique sanitaire du département concernant les différentes espèces de rente et ses grandes orientations avec une forte implication des délégués cantonaux. Ces dernières années, plusieurs résolutions de l’AG ont défini notre politique et permis l’obtention de la situation favorable actuelle pour les prophylaxies « historiques » ou autres maladies. En IBR, cela permet de placer la Creuse en position propice pour la commercialisation, d’envisager l’éradication pour bénéficier des allégements dans le cadre d’un statut favorable.
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La suite est à lire dans la Creuse agricole et rurale du 2 août 2013.