SPORT AUTOMOBILE
Moteurs rugissants et petites routes : un week-end de sensations fortes !
Ce samedi 7 et ce dimanche 8 septembre sont placés sous le signe de la vitesse et de la passion automobile, avec un parcours inédit autour d’Aurillac et des spéciales, concoctés par l’Écurie des volcans.
Ce samedi 7 et ce dimanche 8 septembre sont placés sous le signe de la vitesse et de la passion automobile, avec un parcours inédit autour d’Aurillac et des spéciales, concoctés par l’Écurie des volcans.
Pour l’édition 2024 qui se déroule ce week-end des 7 et 8 septembre, le 28e Rallye du Cantal revient avec un parcours inédit autour d’Aurillac, promettant une compétition spectaculaire des 87 véhicules engagés. Ils sont visibles au QG de la manifestation, sur l’aire évènementielle de la Caba, à Aurillac dès aujourd’hui, 7 septembre. L’occasion d’approcher les véhicules de près et d’observer les préparatifs des équipes. C’est également là que se tiendra la remise des prix, dimanche soir, probablement aux alentours de 17 heures.
Ils seront là
Quant aux pilotes, venus d’Auvergne-Rhône-Alpes, d’Occitanie ou de Midi-Pyrénées, ils en découdront sur 120 km, dont 40 km de “spéciales”, succession d’exercices chronométrés à parcourir trois fois (5,6 km à Prunet et 7,1 km à Ladinhac). Des épreuves comptant pour la coupe de France des rallyes et pour le challenge de l’Association sportive de l’automobile club d’Auvergne (Asaca), comme le précise Francis Verbiguié, président de l’Écurie des volcans qui organise l’évènement. Les leaders seront Marty, gagnant en 2023 ; le Mendois André, ou Frontier venu de l’Hérault. À n’ne pas douter, les locaux seront tout aussi applaudis : Lafon, Lhéritier, Besson, Lacroix, Blaudy...
En plus des catégories traditionnelles, le rallye accueille aussi quatre VHC (Véhicules historiques de compétition) dont la Ford Cosworth d’Alain Delort ou la Porsche 930 de Stéphane Chambon, ex-champion de France, ainsi que 18 VHRS (Véhicules historiques de régularité sportive). Pour ces autos, il n’est plus question de chrono, mais de stratégie pour tenir une moyenne, histoire de ménager ces respectacles montures âgées de 30 à 40 ans et qui ont fait tant rêver (Alpine, BMW, Lancia...).
Car le rallye du Cantal est avant tout une affaire de passionnés. De ceux pour vont vibrer au rythme des moteurs rugissants et partager autant de moments de poussées d’adrénaline que de convivialité. Le tout dans le cadre des paysages de la Châtaigneraie cantalienne. Mêlant esprit de compétition et amour du sport automobile, la fête promet d’être mémorable pour les nombreux amateurs.
La sécurité d’abord !
Pour cette édition, l’organisation a renforcé les mesures de sécurité pour le public. Des zones de spectateurs seront clairement délimitées et surveillées par des commissaires de course formés. Des consignes de sécurité seront communiquées avant et pendant l’événement pour s’assurer que les spectateurs restent à des endroits sécurisés, notamment lors des spéciales les plus techniques. “Le respect des consignes de sécurité est essentiel pour garantir une expérience sans incidents”, martèle Francis Verbiguié. Sur Prunet, au lieu-dit le Garric, les spectateurs sont invités à suivre le fléchage avec un accès prévu depuis Roannes-Saint-Mary. Pour Ladinhac, se rendre au Pouget, avec fléchage à partir de Lafeuillade.