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Maïcentre
Maïcentre relève les défis

Satisfaire les besoins de la maïserie, répondre aux marchés, améliorer les installations et optimiser les réceptions : tels sont les challenges de Maïcentre en 2007.

Jean Marc Salabay, directeur de Maïcentre, Philippe Aymard, président et Jean-Yves Foucault, membre du conseil d’administration ont présenté les quatre grands chantiers de 2007
Jean Marc Salabay, directeur de Maïcentre, Philippe Aymard, président et Jean-Yves Foucault, membre du conseil d’administration ont présenté les quatre grands chantiers de 2007
© Auvergne Agricole
L’année 2006 était très attendue par Maïcentre. Ce devait être l’année du retour de la productivité pour les adhérents et celle de l’élévation du niveau de qualité semoulière. Ce fut d’abord la réalisation d’un rendement moyen de 92 q/ha pour les productions de Limagne ; « un résultat de bon niveau en dépit des aléas climatiques et parasitaires qui ont égrené cette campagne et induit, au final, de fortes disparités de rendements » commentait le président Philippe Aymard, lors de l’assemblée générale de Maïcentre. Mais ce résultat ne saurait occulter le recul de près de 11 % de la production française victime d’un marché 2005/2006 peu porteur, d’un dénigrement médiatique contre le maïs et d’une surenchère en matière de sécurité environnementale « contre laquelle nous devons résister », ajoutait le président. Malgré tout, Maïcentre tire cette année son épingle du jeu à travers le succès de la campagne de contrats qui a permis de produire les volumes attendus par LCI (1) pour ses fabrications d’hominies. Les recommandations de récoltes précoces ont, de leurs côtés, évité la rupture d’approvisionnement de la maïserie alors que les améliorations techniques apportées au moulin et aux opérations de séchage ont joué en faveur de l’optimisation du taux d’extraction.
Mais en 2007, Maïcentre souhaite aller plus loin dans la valorisation et l’optimisation de son outil. Quatre grands défis s’imposent à elle : satisfaire les besoins d’écrasement de la maïserie, soit l’équivalent de 10 000 ha de production ; travailler sur une répartition variétale adaptée aux différents segments de marché (hominies, semoules, baby food…) ; améliorer les installations en matière de séchage et de traitement de la collecte ; et améliorer les conditions de réception. Sur ce dernier point, le président Aymard a annoncé la constitution d’un groupe de travail chargé d’étudier des pistes possibles d’amélioration du système de réception des productions 2007.
Par delà ces enjeux, le conseil d’administration de Maïcentre poursuit ses efforts en matière de qualité en encourageant la recherche, les progrès de la sélection, les améliorations des process industriels et le développement des réseaux d’irrigation, «l’eau étant un facteur de qualité et de régularité de nos productions» insistait Jean-Yves Foucault, membre du conseil.
Tous ces efforts conduisent les équipes de Maïcentre et de son client Limagrain Céréales Ingrédients (LCI) à se mettre en position de répondre aux exigences des marchés des snacks, des céréales petit déjeuner et du baby food. Trois marchés importants pour LCI de par leur capacité à consolider le savoir-faire, la valeur ajoutée, et l’augmentation des volumes de production.

(1) Limagrain Céréales Ingrédients assure la fonction commerciale de Maïcentre.

 

Général Mills partenaire de LCI

Général Mills est un grand groupe américain basé à Minéapolis. Issue de la meunerie, cette société est aujourd’hui centrée sur les productions à base de céréales avec, à l’appui, des marques fortes, telles que «Géant Vert », «Old el Paso », « Häagen- Dazs », «Yoplait», « Cherrios »…
Général Mills est engagé sur 4 ans dans une relation de partenariat avec LCI. Un engagement qui conduit son fournisseur LCI à être constamment en veille sur les évolutions variétales, la qualité des productions, le suivi de la réglementation sanitaire et les progrès à venir.

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