Londres en quête d’une alternative
Après le rejet de l’accord qu’elle avait négocié à Bruxelles, Theresa May est à la recherche d’une alternative.
« Un Brexit sans accord serait extrêmement dommageable pour le secteur agroalimentaire du Royaume-Uni comme de l’UE et doit être évité à tout prix », avaient de nouveau mis en garde, dans un texte commun, les organisations européennes de ce secteur – Copa-Cogeca (agriculteurs), FoodDrinkEurope (industrie de transformation), Celcaa (commerce) – avant que le Parlement britannique ne rejette, le 15 janvier au soir, les modalités d’un retrait ordonné de l’UE négociées en novembre entre la première ministre Theresa May et Bruxelles. Parmi ces modalités, une période de transition jusqu’à la fin de 2020 qualifiée de « vitale pour les opérateurs et les autorités » par les trois organisations professionnelles. Selon elles, « la sortie de l’UE sans accord conduira inévitablement à d’importantes perturbations commerciales et une situation perdant-perdant ».
Suite de l'article à lire dans le Réveil Lozère n°1494, du 24 janvier, en page 9.