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Le solaire pour abriter le matériel de la Cuma du Puy de Banes

Depuis novembre 2022, les Cuma peuvent investir en propre dans un bâtiment de stockage de matériel avec centrale photovoltaïque sans passer par une SAS.

Depuis novembre 2022, les Cuma peuvent investir en propre dans un bâtiment de stockage de matériel avec centrale photovoltaïque sans passer par une SAS.
Depuis novembre 2022, les Cuma peuvent investir en propre dans un bâtiment de stockage de matériel avec centrale photovoltaïque sans passer par une SAS.
© Patricia Olivieri

Soixante-dix adhérents et quasiment autant de matériels (52 recensés cette année) : créée en 1980, la Cuma du Puy de Banes, dans le Cantal, qui rayonne sur Pailherols et ses environs, a vu au fil des ans son parc s’enrichir au point de ne plus pouvoir héberger chez ses membres tous les outils, dont certains modèles ont été achetés en double, voire triple, pour répondre à la demande des adhérents de cette Cuma dynamique qui ne connaît pas la crise du renouvellement ni des vocations, mais celle du logement.
Avec l’accroissement de la taille des matériels, il a fallu se résoudre à en laisser certains dehors. Un bâtiment de stockage : bien sûr, l’idée circulait depuis une paire d’années au sein de la Cuma, « mais on était freiné par le coût et donc le financement, et on avait aussi du mal à trouver le terrain, sachant que ça passait forcément par un projet avec du photovoltaïque sur le toit », relate Pierre Modenel, président de la Cuma, qui a vu en 2022 les planètes s’aligner favorablement. D’abord avec la décision de l’État de prendre à sa charge 60 % du raccordement des centrales photovoltaïques au réseau EDF, décision concomitante avec une remontée du tarif de rachat du kilowatt heure, tarif soumis à une baisse sévère depuis 2020

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