Le pastoralisme dans l’aménagement du territoire
Dans le cadre d’une journée organisée par l’entente, les acteurs du territoire étaient invités à s’exprimer sur les liens entre pastoralisme et paysage.
Loin d’être figé, le pastoralisme, y compris au sein du territoire classé au patrimoine mondial de l’Unesco, évolue, traduisant les changements de la Politique agricole commune, la présence du loup, les orientations agricoles locales, etc. Réfléchir aux liens entre l’agropastoralisme et le paysage de façon à mieux prendre en compte cet enjeu dans l’aménagement du territoire, tel était l’un des thèmes abordés par l’Entente Unesco, le 15 décembre à Florac. « De même que sur le tourisme ou encore la communication et gouvernance, nous avons choisi de réfléchir à ces sujets sous la forme d’ateliers. Il s’agit de donner la possibilité aux professionnels, aux habitants, aux élus de se retrouver et d’échanger », précise Morgane Coste-Marre, responsable de l’Entente.
Les relations entre agropastoralisme et paysage, au coeur du classement Unesco, font l’objet d’une étude menée par Alice Seban, étudiante à Agroparistech qui invitait le public à réagir à un diaporama photo. Et les réflexions recueillies l’aideront à bâtir « une boite à outils » de façon à accompagner les élus dans la rédaction de documents d’urbanisme.
Suite de l'article à lire dans le Réveil Lozère n°1440, du 28 décembre 2017, en page 3.