Le Cil 48 veut dépasser la crise
La seconde réunion de travail du Cil 48 s’est tenue le mercredi 3 juin. Les acteurs de la filière lait ont pu discuter des conséquences de la crise et des perspectives d’avenir.
Cette seconde réunion a permis de faire le point avec tous acteurs impliqués dans la filière, et d’appuyer les commentaires des uns et des autres par des chiffres issus d’une enquête menée pour le Cil 48 auprès de quatre laiteries du département.
« 2020 sera une année difficile quoi qu’il arrive », a entamé Sébastien Durand en ouverture de la réunion, le président du Cil 48. Mais un optimisme prudent s’est fait jour lors des échanges et un léger redond de l’activité a été noté. « La vente en ligne a fonctionné », notamment, ont souligné les organisateurs de la réunion, mais la plus grosse inquiétude demeure sur les prix du lait, « sur l’année globale ».
L’enquête a permis de recenser les difficultés rencontrées en Lozère au plus fort du confinement. « On recense deux laiteries qui auraient été en difficulté sur celles qui ont répondu à l’enquête », expliquent les organisateurs de la réunion, « notamment la laiterie Benoît Chapert et la laiterie de la Laoune ».