Influenza aviaire, retour à un risque « négligeable »
Selon un arrêté paru le 19 janvier, l’ensemble du territoire français est revenu à un risque « négligeable ». La profession touche pour l’instant du bois après deux années de crise, dont la dernière n’est pas encore entièrement soldée.
Dans un arrêté du 16 janvier paru le 19 janvier, le ministère de l’Agriculture abaisse le niveau de risque épizootique d’influenza aviaire de « modéré » à « négligeable » dans les départements de l’Ain, de la Savoie et de la Haute-Savoie. Depuis le 11 octobre 2017, le niveau de risque était qualifié de modéré sur toutes les communes des départements de l’Ain, de la Savoie et de la Haute-Savoie. Il est par ailleurs « négligeable » sur l’ensemble du territoire métropolitain depuis le 4 mai 2017.
Nouveau cas faiblement pathogène
Le même jour, un élevage de 2 700 canards a été abattu dans les Landes en raison de la présence d’un virus d’influenza aviaire, heureusement faiblement pathogène, a indiqué la préfecture du département. Ce virus de type H5 a été détecté lors de tests conduits dans le cadre du repeuplement de cette exploitation située à Meilhan (Landes). « Aucun signe clinique d’infection n’avait été mis en évidence dans cet élevage », a souligné la préfecture. « Aucun élément ne permet à ce stade de rapprocher ce virus de celui qui avait déjà été mis en évidence en décembre 2017 dans un élevage à Saint-Jean-de-Lier », a-t-elle précisé, élevage qui se trouve à 20 km de Meilhan.
Suite de l'article à lire dans le Réveil Lozère n°1445, du 1er février 2018, en page 9.