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Des analyses encourageantes pour la santé des ruchers en Lozère

 Le programme Survapi prend fin après deux années d’expérimentations sur le terrain. La chambre d’agriculture de Lozère a participé à ce projet depuis son lancement en 2018, avec la collaboration de Philippe Jaffuel, l’apiculteur qui a prêté une partie de son rucher pour mener le programme à bien.

 Le programme Survapi prend fin après deux années d’expérimentations sur le terrain. La chambre d’agriculture de Lozère a participé à ce projet depuis son lancement en 2018, avec la collaboration de Philippe Jaffuel, l’apiculteur qui a prêté une partie de son rucher pour mener le programme à bien.
 Le programme Survapi prend fin après deux années d’expérimentations sur le terrain. La chambre d’agriculture de Lozère a participé à ce projet depuis son lancement en 2018, avec la collaboration de Philippe Jaffuel, l’apiculteur qui a prêté une partie de son rucher pour mener le programme à bien.
© Marion Ghibaudo

« Cette expérience a été imaginée dans le cadre du programme Écophyto, dont l’objectif est d’utiliser moins de produits phytosanitaires en agriculture », explique David Folcher, conseiller animateur en développement territorial à la chambre d’agriculture. Les premières analyses lozériennes ont démontré une faible contamination des ruchers par des produits phytosanitaires.
« Il s’agit d’un projet pluriannuel mené en interrégion qui vise à mettre en place un travail en collaboration entre agriculteurs et apiculteurs, pour permettre une amélioration des pratiques prenant en compte l’enjeu de protection des abeilles », selon la plaquette de présentation, et dont l’initiative revient à la chambre d’agriculture de Nouvelle-Aquitaine qui a imaginé le projet.
En Lozère, souligne David Folcher, « il y a eu une vraie volonté politique de la part de la chambre d’agriculture d’être présent dans le programme ». Entre coût des analyses et participation à l’enquête,le budget dédié a été conséquent, mais jugé important « pour apporter les réponses aux apiculteurs, parce qu’il y a de la mortalité et qu’on ne sait pas d’où elle vient », note le conseiller animateur en développement territorial.
Sur les ruchers de Philippe Jaffuel, en hivernage aux Estrets, dix ruches ont été suivies sur huit semaines durant deux années. La Lozère, département de polyélevage, était un milieu intéressant à intégrer à l’étude. Les cinq autres régions représentées vont du paysage viticole aux grandes cultures.

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