Haras nationaux
Dans une semaine, le sort de l’activité de monte sera scellé
Depuis longtemps, l’État a prévenu qu’il transfèrerait une partie des activités assurées depuis Colbert par les Haras.Les candidatures sont reçues jusqu’au vendredi 23 novembre.
Des conséquences sociales
Reste la piste d’une entreprise privée. Il se murmure que deux vétérinaires seraient sur les rangs.Claude Mouysset imagine même, si le cas venait à se présenter, de faire travailler ensemble une structure privée et une structure coopérative ; l’une chargée de la récolte des semences, l’autre de sa diffusion par insémination animale.Ou encore une entreprise pour la reproduction des chevaux de selle et un groupement d’éleveurs pour les chevaux de trait...“Trouver des ententes”, comme le soumet le directeur. Le discours ne suffit pas à tranquilliser Roger Condamine.Le représentant des éleveurs de chevaux lourds du Cantal a écrit au ministre demandant - une nouvelle fois - si l’État ne pouvait pas continuer d’assurer ces missions.Sans succès.
Plus d'infos à lire cette semaine dans L'Union du Cantal.
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