Bruxelles minimise les impacts à la veille d'un vote à Strasbourg
Les modèles utilisés pour prévoir les conséquences possibles de la stratégie De la ferme à la table ont tous leurs limites et « ne sont pas en mesure d'évaluer l'ensemble des impacts des deux stratégies (F2F et Biodiversité, NDLR) et de prévoir l'avenir », a une nouvelle fois répété la Commission européenne le 18 octobre, à la veille du vote du Parlement européen sur sa position (sans portée législative) concernant cette stratégie. La Commission a publié un document listant les très nombreux éléments qui n'ont pas été pris en compte : changements de comportement des consommateurs, développement de l'agriculture bio, innovation, nouvelles technologies (dont les NBT), etc.