Avec les IA, Pascal Couve a gagné en trésorerie et en confort de travail
Pascal Couve, éleveur d’un troupeau de 71 vaches, en grande partie des Charolaises et quelques Aubrac, fait appel depuis deux ans à la coopérative Lozère insémination.
Les vêlages difficiles de ses vaches, les césariennes… Son stress et le temps passé lors des mises bas pénibles… L’argent perdu en cas de vaches vides, d’avortement ou de mort prématurée des veaux… Pascal Couve ne voudrait, pour rien au monde, revenir en arrière. « C’est la deuxième année que les veaux naissent grâce à l’insémination artificielle (IA), se félicite l’éleveur, installé depuis 2000 sur le Gaec des Martines, d’abord avec sa mère puis désormais avec sa femme Nathalie, sur la commune de Saint-Paul-le-Froid. Avec la monte naturelle, j’avais trop de problèmes. Donc, j’ai contacté la chambre d’agriculture et Lozère insémination pour changer de procédé ».
Il y a quatre ans, il avait quatre taureaux. Il n’en a désormais plus qu’un, « car on met la monte naturelle entre parenthèses ». Et cela lui convient très bien. « Avec les IA, je gagne 7 000 € de plus par an, puisqu’il y a davantage de naissances, je vends donc plus de veaux. L’an dernier, 50 sont nés », assure l’éleveur. C’est bien ce point de la rentabilité qui est mis en avant par Lozère insémination
La suite dans le Réveil Lozère, page 6, édition du 26 novembre 2015, numéro 1335.