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De plus ne plus de producteurs effectuent des analyses, pour répondre à un cahier des charges mais aussi pour améliorer leurs pratiques. L'IFV et sept laboratoires œnologiques travaillent sur un projet afin de définir des valeurs limites pour un ensemble de molécules, en dessous duquel un résultat positif ne peut être interprété. C'est ce que l'on appelle les minimis. © J. Gravé
L’analyse de résidus face au défi de la communication

La demande croissante des consommateurs pour des vins sans résidus de pesticides oblige les producteurs à multiplier les…

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Le feuilleton que constitue la sortie du Royaume-Uni de l’Union Européenne est en passe de prendre fin. Mais pour les…

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Armillaria mellea, responsable du pourridié de la vigne

Armillaria mellea est le principal champignon à l’origine du pourridié, une maladie qui conduit à la mort des ceps. Faute de…

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