Les dix articles qui ont cartonné en 2021
2021 touche à sa fin, voici les dix articles qu’il ne fallait pas rater cette année.
2021 touche à sa fin, voici les dix articles qu’il ne fallait pas rater cette année.
Les premières simulations des aides couplées et des écorégimes de la nouvelle Pac de la chambre d'agriculture de Normandie conclue à un impact négatif de -20 €/ha et plus pour les zones allaitantes.
Avec plus de 3 000 hectares implantés en France 2021, la surface en silphie a été multipliée par trois par rapport à 2020. Après la méthanisation, c’est en tant que fourrage qu’elle est testée.
Lorsqu’un empierrement s’avère trop difficile et coûteux, un sol peut être stabilisé avec un liant hydraulique. Une technique très pointue qui ne peut être mise en œuvre que par un professionnel.
Au Gaec de la Rue, dans la Manche. Ayant 700 000 litres de lait en plus à produire et 160 vaches à traire, les associés ont opté pour la traite robotisée en 2020, mais conservé l’ancienne salle de traite.
Le sursemis de méteil permet de régénérer des prairies dégradées sans les retourner. Retour d'expérience.
Distribuer la ration le soir a eu un impact positif sur le troupeau. Jean-Baptiste Decheppe, éleveur dans le sud de la Meuse, en filière AOP brie de Meaux au lait cru, n’est pas prêt à revenir en arrière. La digestion de ses 160 vaches à 9000 kg de lait est plus régulière et les taux ont augmenté.
Au Gaec du Calvaire, dans le Pas-de-Calais. Grâce au groupe lait et au soutien de son père, Simon Bellenguez a réussi à produire 1,2 million de litres de lait tout en baissant les charges du Gaec.
En Meurthe-et-Moselle, Céline et Jérôme Humbert ont réussi à mettre en place un système robotisé qui leur permet de produire à deux 730 000 litres de lait. Ceci sans être débordés par le travail et en dégageant un bon revenu.
Un flux de départ important, des installations en nombre insuffisant pour remplacer tous les départs, moins de croissance et de nouvelles étables de plus de 100 vaches… la décapitalisation va se poursuivre selon Christophe Perrot de l'Institut de l'élevage.
Dans le Puy-de-Dôme, Alexandre Riocourt a négocié fermement avec tous les corps de métier et réalisé une part importante d’autoconstruction. Résultat : un bâtiment en montagne fonctionnel et à coût maîtri