L’élevage moins sensible à la volatilité
Désormais, un éleveur bio a l’obligation de nourrir ses herbivores avec au moins 60 % d’aliments cultivés sur son exploitation et au moins 20 % pour ses monogastriques. À défaut, cette obligation peut s’étendre à sa région administrative, sinon au territoire français avec justificatifs à son organisme certificateur (Règlement d’exécution UE 505/2012 paru le 15 juin au JO de l’UE). Cette disposition rend les élevages bio, notamment les laitiers, moins sensibles à la hausse des cours.