CHICAGO
Les cours du blé ont atteint des records historiques sur Chicago. Cette performance est liée à la restriction régulière de la production mondiale combinée à la persistance d’une demande soutenue à l’international. Et les états-Unis sont, avec la Russie, les seuls fournisseurs à pouvoir prétendre répondre à ces besoins d’importation. Il faut remonter à 1973 et 1996 pour observer de telles envolées sur le marché américain. Chicago n’avait cependant jamais été aussi haut placé. En l’absence de nouveau développement, la tendance haussière tendait à marquer une pause en ce début de semaine.
Contre toute attente, l’état des cultures de maïs et soja s’est amélioré, selon l’USDA. Résultat, les cours, qui s’étaient appréciés en raison d’un temps jugé défavorable, se détendent.
